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spiritualité - Page 21

  • La solidarité entre les Hommes

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    * L'être humain peut, dans sa vie, rencontrer des difficultés personnelles : morales, sociales, psychologiques, juridiques, financières, etc... pouvant le faire tomber très bas, lui causant chagrin et douleur ; et lui occasionnant par là-même une incapacité — momentanée avec un laps de temps plus ou moins long — de pouvoir apporter une réponse à ses problèmes.

    * La peur qu'entraîne toute souffrance de ne pouvoir se relever, voile en l'Humain – et pire peut étioler – sa force vive et sa capacité à se redresser, à transcender tout problème, même le plus grand, et l'empêche de poser haut son regard.

    * L'Homme peut alors perdre sa joie de vivre, sa capacité de réflexion juste et positive, se sentir dépouillé de tout et tomber dans une grande vulnérabilité. 

    * C'est là qu'intervient la solidarité entre les Hommes.

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    Hommes → H = hommes et femmes

    * Le rôle des Hommes est de s'entraider pour apporter aide aux Hommes devenus faibles et vulnérables pour différentes raisons : perte d'un emploi, vie familiale chamboulée, argent mal géré, etc...

    * La solidarité entre les Hommes doit être faite avec le cœur, en respectant totalement les êtres démunis, leur libre-arbitre.

    * La solidarité entre les Hommes doit juste se sentir, elle ne doit pas s'imposer. Elle doit amener ceux qui sont aidés à :

     retrouver leur dignité, leur force vive,

     s’élever en leur montrant – s'ils avaient oublié ou s'ils ne connaissaient pas – comment utiliser les pouvoirs et la puissance que l’Énergie Divine a mis en tout Homme afin qu'ils soient à même de dépasser leur situation difficile, en posant un regard plus haut et plus profond sur leur vie.

     Tout cela doit se faire en respectant leur libre-arbitre (façon de croire, etc...) et sans jugement aucun.

    * Voilà le rôle primordial et ontologique que la solidarité entre les Hommes doit amener.

    PAS DE SUPÉRIORITÉ - TOUS LES HOMMES SONT ÉGAUX

    * Ces Hommes désirant apporter aide et soutien, ne doivent en aucun cas se croire supérieurs.

    * Au contraire ils doivent – s’ils ont compris le sens de l’amour inconditionnel – savoir se mettre à la portée de ceux devenus momentanément faibles et vulnérables, sans s'imposer, pour :

    leur faire reprendre confiance en eux-mêmes et en leur capacité intérieure,

    leur (re)faire prendre conscience de leur Beauté intérieure qu'ils doivent (re)découvrir en eux.

    leur faire retrouver cette Lumière intérieure, qui éclairera leur conscience, leur esprit et leur corps.

    * Alors de faible et vulnérable - qu’il fut hier - l'Homme momentanément faible, devient fort et éclairé à son tour ; et ainsi dans un esprit de réciprocité s'il est prêt et s'il le souhaite, il peut à son tour aider d'autres Hommes.

    RESTER HUMBLE

    * La solidarité entre les Hommes apporte une aide momentanée, afin que les  Hommes fragilisés par les circonstances de leur vie, se redécouvrent, progressent et s'élèvent.

    * En aucun cas les Hommes qui apportent aide, n'agissent à leur place, ni ne s’immiscent dans leur vie privée, ni n'imposent leur façon de vivre ou de croire. Le libre-arbitre doit être respecté totalement ici.

    * Surtout ne pas tirer gloire de l'aide apportée aux Hommes en difficulté, car ce serait alors nier le travail personnel que ces Hommes vulnérables font sur eux-mêmes.

    * Voire pire : cette attitude d’orgueil dénoterait le mépris envers ces Hommes devenus vulnérables et occulterait leur richesse intérieure.

    * La solidarité entre les Hommes apporte seulement conseil, soutien et encouragement, mais aucunement ne peut agir ni penser à la place de ceux qu'ils aident.

    * Si les Hommes vulnérables évoluent et s’élèvent, certes ils peuvent remercier pour les conseils et aides apportés, mais surtout ils se remercieront eux-mêmes des efforts et changements qu’ils auront sciemment faits pour évoluer, grâce à leur propre libre-arbitre, leur propre détermination et leur propre courage.

    * Que les Hommes apportant une aide, ne tirent aucune gloire et orgueil, ni ne cherchent à dominer ou tirer puissance des Hommes en difficulté !!!! Qu'ils remercient plutôt et qu'ils n'oublient pas que agir ainsi :

     cela permet de savoir où l'Homme aidant, en est en lui-même,

    cela donne la joie et le plaisir de partager,

     cela permet de faire connaître une connaissance sans rien attendre en retour.

    La vie n'est pas à sens unique : ceux qui aident et ceux qui sont aidés apprennent les uns des autres et sur eux-mêmes.

    La solidarité entre les Hommes grandit l'Homme (l'aidant comme l'aidé) et lui apporte le plus souvent la connaissance de lui-même (voir ici).

    * La solidarité entre les Hommes amène le désir de devenir un autre Homme et d'atteindre à l'état d’Être Divin !!

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    LIENS

    Croire sans voir

    Une seule Puissance : la Puissance Divine

    Force des Hommes

    L'ontologie

    Le fonctionnement de notre esprit

    Masculin-Féminin en chaque Homme

     Dépasser le manichéisme

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    ©Maryse - etredivin.hautetfort.com

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  • Eliodomestico, un éco-distillateur pour accéder à l'eau potable

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    Source : http://www.consoglobe.com/eliodomestico-dessaler-eau-de-mer-cg

    http://www.consoglobe.com/eliodomestico-dessaler-eau-de-mer-cg/2

    * De l’eau de mer devient potable grâce à cette invention Open Source, qui va sauver des millions de vies !

    * Le manque d’accès à l’eau potable est l’une des causes principales de mortalité dans les pays pauvres.

    Durant ces dernières années, plusieurs efforts ont été déployés pour rendre l’eau de mer potable. Cela nécessitait des centrales qui consommaient énormément d’énergie et était inaccessibles aux pays pauvres.

    Le designer italien Gabriele Diamanti (voir ici) a eu l’idée de rallier deux éléments naturels au service de l’environnement.

    Il a crée le "Eliodomestico", un éco-distillateur qui transforme l’eau salée en une eau potable grâce à l’énergie solaire.

    Ce projet est destiné aux pays en développement et il permettra à ces populations d’accéder à de l’eau potable à moindre coût, avec en prime une technique "Open Source".

    COMMENT FONCTIONNE LE "ELIODOMESTICO" ?

    ECO2.jpg

    * Chaque dispositif Eliodomestico peut produire cinq litres d’eau potable par jour. Ce qui suffit largement pour une famille de 4 personnes.

    * Le concept est simple, il suffit de mettre de l’eau de mer (eau salée) durant la matinée dans une chaudière spéciale.

    * Cette chaudière est étanche à l’eau et grâce au soleil (chaleur) l’eau s’évapore tout au long de la journée.

    La vapeur passe dans un tuyau de raccordement puis se condense dans le couvercle du bac de récupération.

    * L’utilisateur peut récupérer l’eau fraîche et potable que contient le bac après le coucher du soleil.

    Une idée encore plus satisfaisante pour transporter l’eau potable, il suffit de porter le petit bassin sur la tête (une pratique très répandue).

    ECO3.jpg

    FABRICATION DU ELIODOMESTICO

    * Pas besoin d’énergie nuisible ou d’électricité, Eliodomestico est fabriqué à partir de matériaux simples et largement disponibles. Quant à l’entretien, il est simple.

    Le créateur de ce concept a aussi mis cette technologie a disposition de toute personne désirant en profiter. Une sorte d’Open Source de la création et de l’invention qui a participé à l’évolution du savoir humain.

    Le designer italien Gabriele Diamanti explique son projet sur cette vidéo :

    https://vimeo.com/47238447

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    LIENS

     Eliodomestico.pdf

     Eliodomestico distillateur solaire

    Gabriele Diamanti

     Bonté, Générosité, Altruisme = des valeurs humaines innées

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  • Francisco Van Der Hoff, co-fondateur de "Max Havelarr" premier label de commerce équitable


    https://www.youtube.com/watch?v=5OCOrW7o9RQ

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    * Prêtre-ouvrier, Francisco Van Der Hoff est l'inventeur du commerce équitable

    Francisco Van Der Hoff - "Lorsque nous avons créé le label Max Havelaar en 1988, avec mon ami Nico Roozen, nous n’avions pas une idée extrêmement précise de ce que pouvait être le "commerce équitable".

    Nous voulions un commerce alternatif, où les producteurs eux-mêmes auraient accès au marché directement, et de manière équitable, ce qui n’était pas le cas à notre arrivée.

    A l’époque, nous voulions réformer le marché, mais nous avons vite compris que notre petite taille ne nous le permettrait pas. Le problème c'est que nous voulions un marché démocratique, mais les entreprises du nord ne sont pas favorables au fait que les petits paysans aient leur mot à dire dans les décisions commerciales."

    C’est une grosse erreur de penser que les multinationales peuvent être sociales, car par définition elles ne le sont pas. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a que des "méchants" dans les grosses entreprises mais les actionnaires demandent une productivité et une rentabilité de plus en plus importante, ce qui les oblige à réduire au maximum leurs coûts de production.

    Leur mission est différente de la nôtre. Ils sèment déjà le désordre et la confusion sur le marché international, nous devons les empêcher de venir sur le marché du commerce équitable car ça leur permet d’être encore plus néfastes !

    * Je parle bien sûr au niveau de la production, en revanche, au niveau de la distribution, ils peuvent intervenir mais avec des règles bien définies.

    * La part de commerce équitable dans leur chiffre d’affaire ne doit pas représenter qu’une minuscule part uniquement destinée à blanchir leur image vis-à-vis des consommateurs !

    "Parler avec le patron de Carrefour, ce serait perdre mon temps. Seuls les consommateurs peuvent faire changer les choses."

    Francisco Van der Hoff est né Frans, dans une famille de paysans pauvres du Brabant, aux Pays-Bas, au milieu de seize frères et sœurs. Une origine qui explique le "caractère dur, tenace, têtu", décrit par son ami Jean-Pierre Blanc, directeur des cafés Malongo.

    * Bon élève, il intègre un internat à l'adolescence, puis entre en religion, dans un monastère tourné vers l'aide aux démunis. Il part ensuite étudier la philosophie et la théologie à l'Université de Nimègue, où il découvre la contestation en cette fin des années 60. Il prend la tête de l'Union étudiante, participe à l'euphorie du mouvement et découvre la désillusion des lendemains qui déchantent.

    Ordonné prêtre, mais sans un sou et devenu persona non grata dans son pays, il s'exile à Ottawa pour enseigner. C'est là qu'il commence à s'intéresser au Chili. Il s'y rend plusieurs fois, s'installe comme prêtre-ouvrier dans une mine du Nord. Mais le coup d'État qui renverse le président Allende le contraint à fuir et il se réfugie au Mexique.

    "Ma vie, c'est une suite d'accidents"

    * "Ma vie, c'est une suite d'accidents", résume-t-il de sa voix grave de fumeur. Mais il ne se range pas davantage à Mexico. Il est renvoyé d'une usine de voitures pour activisme syndical.

    * Pour l'éloigner autant que pour préserver sa sécurité, on l'envoie dans le diocèse d'Oaxaca. Et là, dans les montagnes de l'isthme de Tehuantepec, il comprend que sa carrière de prêtre voyageur s'arrête.

    * On est en 1980. "Soudain, je me suis senti chez moi. Moi qui suis né "sous les vaches", c'était mon milieu naturel." Au point de ne plus se sentir européen.

    * "J'ai découvert que l'Occident ne savait pas grand-chose. J'ai absorbé beaucoup de la sagesse des indiens, une autre perception de l'homme, l'art de la survie."

    * Il partage la misère des Indiens zapotèques, "sa deuxième famille", dit Blanc. Avec eux, il devient caféiculteur. Il est de la réunion fondatrice de 1981 où une centaine de paysans se livre à une "analyse de la réalité" et jette les bases d'un commerce équitable, en marge du marché international, avec le minimum d'intermédiaires.

    * C'est l'acte fondateur d'UCIRI - Unión de Comunidades Indígenas de la Región del Istmo - (voir ici - ici et ici).

    La coopérative, au fonctionnement démocratique et participatif, centralise le café, organise la vente directe, utilise une partie des bénéfices pour des programmes sociaux ou éducatifs. Le padre, diplômé en économie, apporte sa connaissance des marchés internationaux.

    À la fin des années 80, quand il faut trouver des débouchés pour ce café dans les pays occidentaux, Francisco Van der Hoff s'associe à une ONG néerlandaise pour fonder Max Havelaar, du nom d'un héros de roman hollandais du XIXe siècle qui dénonçait l'exploitation coloniale dans les Indes néerlandaises.

    * Il amorce la diffusion du café de la coopérative, sur un modèle qui essaimera dans d'autres pays.

    Aujourd'hui, il n'a plus de rôle actif au sein d'Uciri, mais il vit toujours dans sa petite maison à Buenavista.

    * Il continue de donner des conseils, sur l'organisation comme sur le business.

    * "Il a toujours été là pour nous aider", note Celso Eleuterio Cabadilla, responsable des exportations de la coopérative.

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    LIENS

    Prendre le parti des Pauvres 

     Francisco VDH

     UCIRI caffè equosolidale dal Messico

     Café UCIRI.pdf

     UCIRI Mexico.pdf

     Témoignage Luis Martinez.pdf

    Le Padre révolte.pdf

    Prendre le parti des Pauvres.pdf

    ♦ Bonté, Générosité, Altruisme = des valeurs humaines innées

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  • Muhammad Yunus : "Le système est aveugle à toute autre considération que le profit"

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    * Depuis plus de trente ans, Muhammad Yunus propose, avec un réel succès, l'accès au crédit pour les plus démunis.

    * A l'heure de la crise du système bancaire et des émeutes de la faim, l'économiste bangladais, Prix Nobel de la paix en 2006, pointe les limites et les failles du capitalisme, et préconise un modèle d'entreprise sociale, qui n'exclurait plus de la vie économique la majeure partie de l'humanité.

    Elle s'appelait Sufiya Begum.

    * Au début des années 1980, elle vivait dans une maison de terre, à la campagne, au Bangladesh. Elle fabriquait de jolis tabourets en bambou. Son mari, journalier, gagnait l'équivalent de quelques centimes d'euros par jour. Ne possédant pas d'argent, Sufiya Begum vendait tous ses tabourets à un commerçant, qui les lui échangeait contre 25 cents et un peu de bambou – c'était son prix.

    * Un jour, Muhammad Yunus vient la trouver, étonné qu'elle gagne si peu. A cette époque, après des études économiques aux Etats-Unis, le professeur Yunus doute.

    En 1974-1975, le Bangladesh a été ravagé par une terrible famine, et, raconte-t-il, il trouvait alors "de plus en plus difficile d'enseigner d'élégantes théories économiques sur le fonctionnement supposé parfait des marchés libres, tandis que la mort ravageait [son] pays".

    * Il décide d'agir, bien déterminé à endiguer la pauvreté dans la région de Jobra. Il ne comprend pas pourquoi elle est endémique.

    En discutant avec Sufiya Begum, il réalise ce qu'il se passe.

    "Cette femme était étranglée par son prêteur. Il la condamnait à une sorte d'esclavage. Elle lui donnait toute sa collection de tabourets pour 25 cents, juste parce qu'elle ne pouvait acheter le bambou. Il lui manquait un crédit.

    J'ai mené une enquête. Quarante-deux villageois dépendaient des prêteurs. Tous auraient pu vivre de leur activité, avec un petit investissement. Il leur fallait, en tout, 27 dollars. Je les avais en poche".

    * Les idées fondatrices de la Grameen Bank et du microcrédit sont nées de ces rencontres.

    * Aujourd'hui, après vingt-cinq ans d'existence, la Grameen Bank et les institutions de microcrédit à travers le monde ont aidé à sortir de la pauvreté 150.000.000 (150 millions) de personnes. 

    LE PROFESSEUR YUNUS A OBTENU, AVEC LA GRAMEEN BANK, LE PRIX NOBEL DE LA PAIX EN 2006

    * Depuis plusieurs années, il développe une nouvelle initiative : l'"entreprise sociale". Il s'agit de lancer des activités économiques rentables mais dont l'objectif est d'apporter un bénéfice social aux exclus du monde économique. Ainsi a-t-il créé au Bangladesh, avec Franck Riboud, le PDG de Danone, la société Grameen Danone
    Foods qui vend aux habitants de Bogra des yaourts frais à bas prix, qu'ils voudraient servir dans des coques comestibles – et vitaminées.

    * L'initiative permet de lutter contre la malnutrition et les carences alimentaires et d'offrir des emplois locaux. Si elle fonctionne, elle sera étendue à tout le pays.

    "Ce genre de petite entreprise sociale pourrait se généraliser, explique le professeur Yunus. Elle ouvre un nouveau type de marché, attentif à la pauvreté et aux besoins réels, qui va peut-être changer nos fondamentaux économiques."

    * Nous avons rencontré Muhammad Yunus à Paris, alors que le système mondial du crédit traverse une crise historique et que plusieurs grandes banques se sont effondrées. La peur de la récession gagne les Etats-Unis et des dizaines de milliers
    d'Américains se retrouvent poussés à la rue par les organismes prêteurs. Qu'en pense le fondateur de la Grameen Bank, où les taux de remboursement dépassent les 95 % ?

    Lire la suite ici

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    LIENS

    Le système est aveugle à tout autre considération que le profit.pdf

     Bonté, Générosité, Altruisme = des valeurs humaines innées

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