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Rechercher : se relever de toutes situation

  • Il faut explorer la voie de la guérison spirituelle

    "Il faut explorer la voie de la guérison spirituelle" - source ICI

    * Si les pouvoirs du cerveau sont largement étudiés depuis plusieurs années, ceux de la pensée et de l'esprit restent le terrain d'investigation d'une frange de scientifiques. Pourtant, des guérisons inexpliquées sont constatées depuis toujours partout dans le monde. Et ceci avec ou sans caractère religieux.

    * Antoine Sénanque, neurologue depuis plus de 30 ans à Paris, s'est penché sur ces cas faisant buter la science matérialiste. Comment une femme atteinte d'un Parkinson avancé guérit-elle en une nuit ? Pourquoi des cancers se résorbent-ils spontanément ? Qu'ont en commun ces personnes qui guérissent et qui déjouent les pronostics des médecins ?

    * Dans ses deux livres traitant des pouvoirs de l'esprit sur le corps et la matière, le neurologue nous invite à reconsidérer le vivant non comme une mécanique froide et prédictive mais comme quelque chose de bien plus grand qui parfois nous échappe...

    H = hommes et femmes

    * L'Homme a une puissance insoupçonnée en lui, qui lui permet d'accomplir de merveilleuses choses.

    Hébreu 11,1 - "la foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas."

    * Parmi toutes les richesses que l'Homme a reçu de l'Eternel (Adonaï, Dieu, Allah, Source Divine, La Vie ou Vie, etc...), la plus grande, son merveilleux cadeau, est le pouvoir de contrôler et de diriger son esprit pour toutes les fins qu'il désire.

    * Tout particulièrement pour sa guérison, toutes les guérisons.

    * Pour que l'Homme soit capable de se guérir (sur tous les plans), il doit :

    se connaître parfaitement (voir ici),

    désirer du fond du cœur la guérison

    visualiser son corps, qui est un cadeau de l'Eternel, tel qu'il était avant sa maladie ; le visualiser dans toute sa splendeur. Réfuter catégoriquement, rejeter loin de lui, tout signe de maladie (mal-a-dit), quelle qu'elle soit. L'Eternel a tout créé de façon harmonieuse, idem l'Homme et son corps. Le "mal" est le fait uniquement de l'Homme.

    se transformer intérieurement pour atteindre à un certain état de bien-être, pour la réalisation de son souhait.

    Ainsi par cette harmonisation intérieure – unir ses pensées et ses émotions de façon tout à fait conformes et tout particulièrement positives – l'Homme peut alors capter de façon consciente l'Energie Divine que l'Eternel prodigue à tous (Cosmos, monde minéral, végétal, animal et bien sûr humain) qui se trouve en lui et tout autour de lui, et emplir totalement son corps voire tout son être de cette Puissance qui le régénère, le revitalise, entièrement.

    Remercier et rester joyeux (cultiver la joie si elle ne va pas de soi).

    * L'Homme doit agir ainsi, tous les jours aussi souvent qu'il le faut (minimum deux fois par jour), en prêtant extrêmement attention à ses pensées et à ses paroles afin de ne pas nier, désorganiser voire annuler toute son œuvre créatrice. Si cela survenait, revenir de suite par la pensée au désir profond de guérison et la transformation qu'elle amènera dans la vie, et remercier pour sa réalisation.

    * L'Homme ne doit voir que le Bien et réfuter tout mal, car le mal n'existe pas en ontologie : c'est le fait du mauvais choix de l'Homme. L'Eternel a tout créé de façon harmonieuse et merveilleuse.

    * Après un laps de temps plus ou moins long, l'Homme sentira dans son cœur et dans son corps que tout est prêt à la réalisation de son souhait.

    * Il saura que la maladie quitte son corps lorsque des douleurs plus aigues surgiront. C'est le processus final qui confirme que la guérison s'installe définitivement dans le corps. Ne pas prêter attention à ces douleurs mais toujours élever son regard, ses pensées et ses émotions, afin de ne pas les garder.

    Jérémie 31,32 - "Je mettrai ma loi au dedans d'eux, Je l'écrirai dans leur cœur; Et je serai leur Dieu, Et ils seront mon peuple."
    Le coeur en ontologie est le subconscient

    * Par la connaissance de lui-même et son harmonisation intérieure (voir ici) – union du conscient ou Principe Masculin et du subconscient ou Principe Féminin – l'Homme se (re)connecte à sa Partie Divine en lui, cette Etincelle de Vie, qui se trouve dans son subconscient (Principe Féminin ou Féminin intérieur).

    * Ce Féminin intérieur contient tous les dons et tous les attributs de la Source Divine (Dieu, Allah, Adonaï, Ahura Mazda, la Vie, etc...) qu'Elle a offert à l'Humanité.

    * L'Homme est capable de tous les dépassements, même les plus spectaculaires, allant jusqu'à se guérir, se transformer, se transcender et ainsi atteindre l'état d'Etre Divin qu'il n'aurait jamais dû quitter.

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    LIENS

     Bruno Gröning, guérisseur spirituel allemand

     Films documentaires

    ♦ Le mal-a-dit

     Il n'existe qu'Une Puissance, la Puissance Divine

     Le fonctionnement de notre esprit

     Masculin et Féminin en l'Homme

     Croire sans voir 

     Pensées et sentiments sont créateurs 

     Dépasser le manichéisme

     Devenir des Hommes nouveaux

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  • Qui suis-je

    spiritualité,etre humain,société,actualité,paix,force,joie,foi,croyance,développement personnel,transformation,changement du monde,métaphysique,ontologie

    LIENS RAJOUTÉS Des liens seront rajoutés – en fin de page et/ou dans le texte – aux articles déjà écrits, même anciens, premiers, au fur et à mesure de l'enrichissement et de l'évolution de ce blog — liens ayant rapport avec les différents thèmes déjà abordés,  pour un meilleur regroupement de ces thèmes que les internautes voudraient rechercher.

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    H → H= hommes et femmes

    * Je me prénomme Maryse V.

    * Enfant, j'ai toujours su au fond de moi que Jésus n'était pas Dieu (nommé aussi Source Divine, Énergie cosmique, Grand Esprit, Allah, l'Éternel, Ahura Mazda, la Vie, etc).

    * Mon éducation religieuse me posait vraiment question.

    * En effet venant d'un milieu catholique (sicilienne par ma grand-mère), je ne comprenais pas ce dieu père-fils-saint esprit, ce dieu trinité, dont on me parlait au catéchisme, et cet homme Jésus qu'on disait "dieu incarné".

    * A l'église il y avait une immense croix de presque 3 mètres de haut sur laquelle agonisait un homme, ce qui me dégoûtait, et que je ne pouvais éviter car située derrière le curé.

    * Chez ma grand-mère je priais avec l'image d'une femme tenant un bébé dans ses bras que l'on nommait "petit Jésus".

    * J'avoue je ne comprenais pas : qui est Dieu et qui est Jésus, car rien n'était expliqué, il fallait tout simplement croire sans poser de questions.

    * À cause de cela, ou grâce à cela, très tôt vers l'âge de 8 ans, je décidais que Dieu n'était pas Jésus – ce Jésus que je ne connaissais pas car chez nous nous n'avions pas de Bible, seulement un missel d'église ; alors je décidais de m'adresser à Dieu directement. Intuitivement j'avais senti que c'était la vraie solution, la plus belle de toutes.

    * J'avais choisi les moments où je faisais du vélo : je prenais mon vélo (nous habitions la campagne) et l'invitais à venir avec moi. Je lui parlais, lui confiais les bêtises que je faisais et Lui promettais de ne pas recommencer ; mais je lui parlais de tout. Parler à Dieu directement durant au moins 1 heure de temps, s'appelle "faire Hitbodedout" chez les Juifs. Je faisais Hitbodedout sans le savoir !

    * Je priais constamment dans la journée et embrassais Dieu tout le temps et le soir avant de dormir je parlais et embrassais Marie.

    * Ainsi je m'adressais à Dieu directement, je Lui parlais sans cesse, en faisant attention à ce que je disais et pensais — car je savais intuitivement qu'Il savait tout et entendait tout — et en faisant attention à mes actes. Tout humain – même les enfants – savent inconsciemment ou intuitivement ou consciemment, que pensées, émotions/sentiments et actes, sont liés.

    * En s'adressant à Dieu directement, sans aucun intermédiaire, sans religion ni dogme, Il nous montre des choses, des explications, des entendements. J'ai ainsi vu des bribes de mon avenir enfant jusqu'à mes 35 ans, âge où j'ai recommencé à zéro !!! J'avais même vu que j'avais arrêté de prier et j'en étais abasourdie et ne voulais pas le croire moi qui priais alors 70 fois 3 prières chaque nuit même si j'étais fatiguée je m'obligeais à prier !

    * Dieu m'a énormément aidé enfant, Il m'a protégé, même adulte ! Les gens me disaient quand j'étais enfant et adulte "tu as toujours de la chance".

    * Vers 17 ans je rejetais totalement ma religion mais je n'ai jamais abandonné Dieu cela m'était impossible, seulement je ne Lui parlais plus. Je vivais en croyant que tout venait par "ma force et ma puissance".  

    * À 35 ans je me suis retournée vers Dieu : recommençant à zéro, j'ai crié vers Lui pour qu'Il m'aide à me relever et Lui ai demandé de me guider. Il m'a guidée pour changer et évoluer et Il m'a fait découvrir l'ontologie — ontologie qui fait prendre conscience à tout Homme de se reconnecter à sa Dieuité, cette Étincelle Divine que Dieu a posé en lui pour lui permettre de (re)découvrir Qui il est et Ce qu'il est.

    * Revenir vers Dieu m'a permis d'être vraiment certaine que Jésus est un prophète mais surtout un exemple à suivre tout à fait accessible, pour chaque humain !

    * En 9 mois ma vie avait changée grâce à Son aide !!!

    * Dieu m'a toujours épaulée dans ma vie, m'a sauvée plusieurs fois (voir ici).

    Dieu a toujours été présent dans ma vie, m'a toujours aidé à diriger mon existence... jusqu'en 1996, date de ma connaissance fantastique, d'un passage à une autre étape !

    1996 : MERCI À L’ÉTERNEL POUR SON AIDE PUISSANTE

    * Lorsqu'en 1996, je fus renvoyée d'un groupe à la mentalité religieuse arriérée et néfaste — parce que dénonçant durement leur dérive sectaire, leur mentalité étroite, leur esprit d'obéissance et de déification — et que je dus me relever financièrement, je savais que l'Eternel me demandait désormais de gérer mes émotions et de devenir responsable sur le plan financier. 

    L'autonomie demandée me fit craindre un instant l'abandon de l'aide Divine, mais il n'en fut rien : Dieu serait toujours à mes côtés.

    * En même temps que mon renvoi, je dus quitter mon appartement, car l'une des personnes de ce groupe s'était portée garante et parce que j'avais un loyer de retard.

    * Là je compris que Dieu me demandait de revoir ma façon d'être, pour :

    aimer à être responsable de ma vie,

    apprendre à gérer l'argent,

    mais plus que tout, il m'était demandé de savoir gérer mes émotions afin de regarder en premier lieu mes propres erreurs pour les accepter, puis les comprendre et ainsi les dépasser.

    Dépassement qui élargit la conscience par une plus grande connaissance de soi-même et qui permet simultanément de comprendre les erreurs des autres et de découvrir que l'autre est aussi soi-même : paradoxe Humain.

    * Gérer ses propres émotions et oser regarder ses propres défauts :

    permet d'être armé face à l'existence, de mieux comprendre les erreurs des autres que tous portons en nous-mêmes, même si nous ne développons pas les mêmes. Cette belle et magnifique compréhension amène au pardon du cœur (voir ici),

    et simultanément, permet de témoigner et apporter aide et compréhension à nos frères humains qui traversent des difficultés.

    * Il me fallait devenir matériellement équilibrée et m'accomplir pleinement spirituellement... Je compris que tout changement intérieur rejaillit dans le monde, même si cela n'est pas flagrant de prime abord.

    1996 : DÉCOUVERTE DE L'ONTOLOGIE

    Joseph Murphy - "Votre pensée est énergie, elle a une fréquence vibratoire. Lorsque vous pensez à l'Énergie cosmique, à Dieu, votre pensée a la fréquence vibratoire la plus haute et cette fréquence neutralise et détruit les pensées de peur, de doute, de manque."

    * J'acceptais de changer et Lui demandais de me guider pour mon changement. Il me fit connaître l'ontologie (voir ici) par l'intermédiaire d'un livre de Joseph Murphy.

    * Grâce à l'application des principes forts simples (à mon avis) à mettre en place, je pus non seulement trouver un emploi mais aussi un logement. En moins d'un an, je vivais autrement, avec une connaissance simple mais primordiale à appliquer dans toutes les enceintes de ma vie !!

    * Je fais ce blog aujourd'hui, non seulement pour valoriser l'ontologie que j'affectionne tout particulièrement, que je pratique et dont je ne peux plus me passer, mais surtout pour démontrer que tout être humain a tout en lui, pour se réaliser complètement. 

    * L'Homme peut se réunifier avec la Source Divine (que certains appellent Adonaï, L’Éternel, Dieu, Allah, Énergie Cosmique, Source Divine, la Vie, Le Créateur, etc...), vivre une vie pleine et riche tout en étant capable de résoudre ses problèmes plus aisément qu'il ne le croit.

    * Cette Source Divine, a mis en chaque Homme cette Puissance que nous devons utiliser, parce que nous sommes Son image et parce que nous devons tout faire pour devenir Sa Ressemblance.

    * Cette Puissance Divine en chaque Homme — qui a toutes les caractéristiques du Créateur — est à utiliser, à exprimer, pour que l'Homme devienne Un en lui-même (idest rééquilibré, harmonisé). 

    * Cette Puissance Divine relie l'Homme à la Source Divine et à fortiori avec tous les autres Hommes et le Cosmos.

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  • L'invention de la Trinité

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    * Cet article a pour but de donner un éclairage sur la croyance en la Trinité (trois personnes dans Dieu) dans le christianisme. Les différentes religions chrétiennes sont ici respectées.

    * En outre, quelle que soit la croyance ou la non-croyance de chaque Etre Humain (hommes et femmes), seul l'importance de se connaître surpasse, prime, sur toute religion, puisque de cette connaissance interne découle la cohérence de l'Homme (penser, sentir, agir dans la même direction).

    LE MYTHE DE LA TRINITE

    https://www.youtube.com/watch?v=zdX8IT-uceQ

    * De nombreux biblistes, y compris des trinitaires, reconnaissent que la Bible ne contient pas de doctrine formelle de la Trinité. Voici, par exemple, ce qu’on lit dans L’Encyclopédie des Religions (angl.): "Aujourd’hui, exégètes et théologiens s’accordent à reconnaître que la Bible hébraïque ne renferme pas de doctrine de la Trinité. (...)

    * Bien que la Bible hébraïque appelle Dieu "le père d’Israël" et qu’elle personnifie Dieu en employant des termes tels que "Parole" (Davar), "Esprit" (Rouah), "Sagesse" (Hokhmah) et "Présence" (Shekhinah), ce serait forcer l’intention et l’esprit de l’Ancien Testament que de lier ces notions à la doctrine de la Trinité apparue plus tard.

    * "En outre, exégètes et théologiens admettent que le Nouveau Testament ne contient pas non plus de doctrine explicite de la Trinité. Dieu le Père est source de tout ce qui est ("Pantokrator"), ainsi que le père de Jésus Christ. "Père" n’est pas un titre donné à la première personne de la Trinité, mais un synonyme de Dieu. (...)

    * "Dans le Nouveau Testament, il n’y a pas de conscience réflexive de la nature métaphysique de Dieu (la "trinité immanente") ; on n’y trouve pas non plus le langage technique dans lequel cette doctrine a été par la suite exposée ("hupostasis", "substantia", "persona", "subsistentia", "prosôpon"). (...) Il est incontestable que cette doctrine ne peut être prouvée par le seul appui des Écritures."

    * Relativement à l’historique de cette doctrine, voici ce qu’on peut lire dans la Nouvelle Encyclopédie britannique : "Le mot Trinité ne figure pas dans le Nouveau Testament. La doctrine qu’il désigne n’y est jamais énoncée explicitement. (...). Cette doctrine a pris forme progressivement, sur plusieurs siècles et à travers bien des controverses. (...). Ce n’est pas avant la fin du IVe siècle que la distinction entre les trois et leur unité ont été rassemblées dans une même doctrine orthodoxe d’une seule essence et de trois personnes."

    * On lit à peu près la même chose dans la Nouvelle Encyclopédie catholique (angl.) sur l’origine de la Trinité : "Les exégètes et les théologiens, y compris un nombre sans cesse croissant de catholiques, reconnaissent qu’il ne convient pas de parler de la doctrine trinitaire dans le Nouveau Testament sans faire d’importantes réserves.

    * Les spécialistes de l’histoire des dogmes et les théologiens systématiques reconnaissent, chacun de leur côté, que lorsqu’on parle d’une doctrine trinitaire achevée, on passe de la période des origines du christianisme à celle, disons, du dernier quart du IVe siècle.

    * C’est seulement à ce moment que, ce que l’on pourrait appeler le dogme définitif de la Trinité, "un seul Dieu en trois personnes", est devenu partie intégrante de la vie et de la pensée chrétiennes. (...). La formule elle-même ne reflète pas la conscience immédiate qu’on en avait à l’époque des origines ; elle est le produit de 3 siècles de formation doctrinale."

    HISTORIQUE

    * En 312 de notre ère, Constantin, qui régnait sur l’actuel territoire de la France et de la Grande-Bretagne, partit en guerre contre son beau-frère, Maxence, d’Italie. En chemin, il aurait eu une vision — une croix portant les mots "Hoc vince", ce qui signifie "Triomphe par ceci". Après avoir remporté la victoire, Constantin fit de la croix l’étendard de ses armées.

    * Par la suite, quand le christianisme est devenu la religion d’État dans l’Empire romain, la croix a été choisie comme symbole de l’Église. Le livre "Étranges survivances" (anglais) dit à propos de Constantin et de sa croix: "Il ne fait guère de doute qu’il agissait pour des motifs politiques ; le symbole qu’il a élevé flattait les chrétiens engagés dans son armée, d’une part, et les Gaulois païens, d’autre part. (...) Aux yeux de ces derniers, ce signe était le gage du soutien de leur divinité solaire, le "dieu-soleil" qu’ils adoraient.

    * Le "signe céleste" vu par Constantin n’a rien à voir avec Dieu ou le Christ. Il fit inscrire les mots "Hoc vince" sur son étendard. Il imposa les fondements de la religion catholique romaine, sans doute pour en obtenir le soutien dans la réalisation ultérieure de ses desseins politiques, et il introduisit dans cette religion "chrétienne" les croyances païennes qui lui tenaient encore à cœur.

    * Au XIXe siècle, le cardinal John Newman révéla (dans son livre "Essays and Sketches") l’origine d’une bonne part de l’enseignement de son Église. Il dit "Le phénomène admis par tous est le suivant : on doit chercher une grande partie de ce qui est généralement reçu comme la vérité chrétienne, dans ses notions essentielles et dans ses différentes parties, dans les philosophies et les religions païennes. Par exemple, on retrouve à l’Est comme à l’Ouest la croyance en une trinité, la cérémonie du lavage des pieds, le rite du sacrifice. La doctrine de la Parole divine est platonicienne, celle de l’Incarnation est indienne."

    * The Encyclopedia Americana (1956), tome XXVII, p. 294L : "Le christianisme tirait ses origines du judaïsme, et celui-ci était strictement unitaire (il présentait Dieu comme une seule personne). De Jérusalem à Nicée, on est loin d’avoir cheminé en droite ligne."

    * Dans son Dictionnaire universel, Maurice Lachâtre écrit : "La doctrine trinitaire du IVe siècle ne donnait pas une idée exacte des croyances des premiers chrétiens sur la nature de Dieu; elle en constituait au contraire une déviation. La trinité platonique (platonicienne), qui ne fut elle-même au fond qu’une sorte d’arrangement, de disposition nouvelle, des trinités plus anciennes des peuples qui avaient précédé, nous paraît bien être la trinité philosophique, rationnelle, c’est-à-dire la trinité d’attributs qui a donné naissance à la triplicité d’hypostases ou de personnes divines des Églises chrétiennes (...). Cette conception de la Trinité divine du philosophe grec [Platon, IVe siècle av. n. è.] se trouve partout dans les anciennes religions païennes" :

    Chez les anciens Indo-européens, les dieux étaient ainsi classés dans trois "fonctions", correspondant en quelque sorte aux trois classes du Moyen-Âge : Clergé, noblesse et tiers-état.



    A Rome, la grande Triade était composée initialement de Jupiter, Mars et Quirinus.



    En Inde la Trimurti des Hindouistes est composée : Brahma le créateur, Vishnou le préservateur et Shiva le destructeur. Cette Triade se basait sur les trois modalités du temps (passé, présent et futur) tout comme la Triade des Moires en Grèce : Clotho (qui file le fil du destin), Lachésis (qui la mesure) et Atropos (qui le coupe)

.

    La Grande Triade spatiale des Sumériens : Anu, le dieu du ciel, Enlil, le dieu de la surface de la terre, et Enki, le dieu des eaux souterraines.



    La grande Triade astrale des anciens Sémites : Le Soleil, la Lune et la planète Vénus.
 Peut-être qu'ici le Soleil était la mère, la lune étant le père et Vénus le fils.



    Chez les anciens Égyptiens on trouvait également de nombreuses Triades du type père - mère - fils : 
Par exemple Osiris, Isis et horus ... ou Amon, Mout et Khonsou.

    Ashour, le dieu principal des Assyriens, est représenté avec trois têtes.



    * La Trinité, enseignement de l’Église catholique selon lequel Dieu est formé de trois personnes (peut-être inspirée par les Triades égyptiennes), soulève depuis longtemps de nombreuses controverses. Comme l’explique l’historien Earl Morse Wilbur, elle "était l’objet de longues discussions au Moyen Âge parmi les théologiens catholiques, auxquelles participaient même les papes".

    * Toutefois, le commun peuple, n’ayant guère écho de ces débats, est tenu d’ajouter foi à de telles doctrines comme à des "mystères divins".

    * A cette même période, certains choisissent de braver la tradition et d’étudier les Écritures dans le but d’éclaircir ces mystères. Leur mot d’ordre est "Sola Scriptura" ("l’Écriture seule"). Rejetant la doctrine de la Trinité — dont quelques-uns seront plus tard appelés Unitariens par opposition aux trinitaires — ils subissent souvent des persécutions cruelles de la part des catholiques tout comme de celle des protestants.

    * Pour y échapper, ils publient leurs écrits largement diffusés sous des pseudonymes et vivent dans le secret. En outre, les antitrinitaires sont en première ligne de la lutte pour la tolérance. Plusieurs d’entre eux, tel le théologien espagnol Michel Servet, le paieront de leur vie.

    LA TRINITÉ NON MENTIONNÉE DANS LES ÉCRITURES

    * "Nous vénérons un seul Dieu dans la Trinité ....Dieu est le Père ; Dieu, le Fils; Dieu, le Saint-Esprit : et il n’y a pas trois Dieux, mais un seul Dieu". C'est la définition du dogme de la Trinité selon le "Symbole d'Athanase", fixé seulement au concile de Constantinople en 553 après Jésus-Christ.

    * Pourtant on peut constater que le mot "Trinité" ne se trouve nulle part dans la Bible. Et la doctrine qu'il désigne n'y est jamais énoncée explicitement. Toutes les Écritures parlent de l'Unicité de Dieu :

    Deutéronome 32,39 – "Sachez donc que c'est moi qui suis Dieu, et qu'il n'y a point de dieu près de moi."

    Matthieu 4,10 – "C’est Yahvé ton Dieu que tu adoreras, et à lui seul tu rendras un culte."

    Marc 12,29 – "Le premier de tous les commandements est : Écoute, Israël, le Seigneur notre Dieu est un seul Seigneur."

    * Elle est rejetée dans le Coran

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  • L'âge de Aïcha lors de son mariage avec le prophète Muhammad

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    Source : http://www.mosquee-lyon.org/forum3/index.php?topic=15938.15;wap2

    * Le Dr Ahmed Amine explique le mythe de l'âge de Aïcha lors de son mariage avec le prophète Muhammad.

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    ﻢﻠﻋأ ﷲا و
    Juillet 2008, Dr Ahmed Amine

    Remarque préliminaire

    * Afin de ne pas alourdir la lecture du texte, je n’ai pas mentionné après l’énonciation du prénom du prophète(*) ou de Son titre, la formule "que la paix et la prière soient sur lui".

    * Je compte néanmoins sur le lecteur (musulman) pour formuler cette marque de respect dans son cœur. Il en est de même pour tous les compagnons, il est d’usage de dire "que Dieu soit satisfait de lui" ou "d’elle".

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    LE MYTHE EXPOSÉ

    * La plupart des Musulmans acceptent aveuglement et sans se poser trop de questions l’histoire du mariage de notre prophète(*) avec une gamine de 9 ans nommée Aïcha.

    * Les musulmans préfèrent ne pas soupçonner les récits ayant relatés cette propagande comme tant d’autres, même si ces récits humains contredisent explicitement le noble Coran et le bon sens, sous prétexte que cela est relaté dans tel ou tel recueil «Sahihs» (sahih = authentique).

    * Entourés d’un halo de sacralité depuis des siècles, ces recueils ne sont que la compilation de récits sensés remonter au prophète(*) ou à ces compagnons, faites par des humains et dont la sélection n’est en fin de compte basée que sur l’arbitraire de ces personnes.

    * Le prophète(*) était un homme exemplaire. Toutes ses actions étaient des plus vertueuses ; sa morale était le noble Coran et il ne pouvait en aucun cas épouser une innocente fille de neuf ans.

    * Ceci me conduit à creuser pour chercher la source de cette erreur, partie de l’idée que l'âge de mariage de Aïcha a été faussement rapporté dans la littérature des hadiths.

    * On va essayer dans ce texte, de présenter des preuves solides pour démentir cette histoire inventée par Hisham ibn’Urwah pour purifier ainsi l’image de notre Saint prophète Muhammad "que la paix et la prière soient sur lui".

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    PREUVE N°1 : FIABILITE DES SOURCES

    * La plupart des récits rapportés dans les livres de hadith sont transmis seulement par Hisham ibn`Urwah, qui faisait éloge de l'autorité de son père. C’est un hadith non concordant (non moutawatir), il est seulement issu d’une chaîne unique (Ahad) ce qui ne le met pas hors de doute.

    * Il est étrange que personne de Médine, où Hisham ibn`Urwah a vécu les 71 premières années de sa vie, n'ait relaté l'événement, malgré le fait que parmi ses élèves de Médine se trouvait le bien respecté Malik ibn Anas.

    * Les origines des récits de cet événement viennent des gens de l'Irak, où l’on annonce que Hisham a beaucoup changé après son déménagement de Médine vers l’Irak.

    * "Tehzibu’l-Tehzib", un des livres les plus bien connus sur la vie et la fiabilité des narrateurs des traditions du prophète(*), annonce que selon Yaqub ibn Shaibah : “il [Hisham] est fortement fiable, ses récits sont acceptables, sauf ce qu'il a relaté après son déplacement en Irak” (Tehzi’bu’l-tehzi’b, Ibn Hajar Al-` asqala’ni, Dar Ihya Al-turath Al-Islami, le 15ème siècle. Vol 11, p. 50).

    * C’est pour cette raison que Malik ibn Anas a élevé une objection sur les récits de Hisham qui ont été annoncés par les gens de l’Irak : (Tehzi’b u’l-tehzi’b, Ibn Hajar Al-`asqala’ni, Dar Ihya Al-turath Al-Islami, Vol.11, p. 50).

    * Mizanu’l-ai `, un autre livre sur la vie des narrateurs des traditions du prophète(*) annonce : “Quand il était vieux, la mémoire d'Hisham avait subi une faiblesse manifeste” (Mizanu’l-ai ` , Al-Zahbi, Al-Maktabatu’l-athriyyah, Sheikhupura, le Pakistan, Vol. 4, p. 301).

    Conclusion n°1 : Basé sur ces références, la mémoire d'Hisham était faible après son immigration en Irak et ses récits étaient qualifiés d’incertains. Ainsi, son récit sur le mariage de Aïcha est non fiable.

    * CHRONOLOGIE : c'est essentiel aussi de garder à l'esprit certaines des dates pertinentes dans l'histoire d'Islam :

    • 610 CE : Jahiliya (âge pré-islamique) avant la révélation.

    • 610 CE : Date de la première révélation.

    • 610 CE : Abu Bakr se convertit à l’Islam

    • 613 CE : Le prophète(*) Muhammad commence à prêcher publiquement.

    • 615 CE : Émigration à Abyssinia

    • 616 CE : Omar ibn Al Khattab se convertit à l’Islam.

    • 620 CE : Les fiançailles généralement admises d'Aïcha avec le prophète(*).

    • 622 CE : Hijrah (emigation à Yathrib, plus tard rebaptisé Médine).

    • 623/624 CE : Année généralement admise où Aïcha vivant avec le prophète(*).

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    PREUVE N°2 : LES FIANCAILLES

    * Selon Al-Tabari (aussi selon Hisham ibn ‘Urwah, Ibn Hunbal ), Aïcha était fiancée à sept ans et a commencé à cohabiter avec le prophète(*) à l'âge de neuf ans.

    * Cependant, dans un autre récit, Al-Tabari dit : "Tous les quatre enfants de [Abou Bakr] sont nés de ses deux femmes pendant la période pré islamique" (Tarikhu’l-umam wa’l-mamlu’k, Al-Tabari (sont morts 922), Vol. 4, p. 50, arabe, Dara’l-fikr, le Beyrouth, 1979).

    * Si Aïcha était fiancée en 620 CE (à l'âge de sept ans) et a commencé à vivre avec le prophète(*) en 624 CE (à l'âge de neuf ans), ceci indiquerait qu'elle est née en 613 CE et avait neuf ans quand elle a commencé à vivre avec le prophète(*).

    * Donc, basé sur le récit d'Al-Tabari, les calculs montrent qu'Aïcha devait être née en 613 CE, trois ans après le début de révélation (610 CE).

    * Tabari déclare aussi qu'Aïcha est née dans l'ère pré-islamique (Jahiliya). Si elle est née avant 610 CE, elle aurait eu au moins 14 ans quand elle avait commencé à vivre avec le prophète(*). Essentiellement, Tabari se contredit lui même.

    Conclusion n° 2 : Al-Tabari est incertain concernant l'âge de Aïcha lors de son mariage.

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    PREUVE N°3 : L'AGE DE AÏCHA PAR RAPPORT A L'AGE DE FATIMA

    * Selon Ibn Hajar, Fatima est née au temps où la Kaaba avait été reconstruite, à cette date le prophète(*) avait 35 ans, elle en avait cinq ans de plus que Aïcha” (Al-isabah fi tamyizi’l-sahabah, Ibn Hajar Al-Asqalani, Vol. 4, p. 377, Maktabatu’l-Riyadh Al-haditha, Al-Riyadh, 1978).

    * Si la déclaration d'Ibn Hajar s’avère véridique, Aïcha est née quand le prophète(*) avait 40 ans. Et s’il avait épousé Aïcha quand il avait 52 ans, l'âge de Aïcha au moment de son mariage serait au moins 12 ans.

    Conclusion n° 3 : Ibn Hajar, Tabari Ibn Hisham et Ibn Humbal se contredisent. Ainsi, le mariage présumé de Aïcha à l’âge de 9 ans n’est qu’un mythe.

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    PREUVE N°4 : L'AGE DE AICHA PAR RAPPORT A L'AGE DE ASMA

    * Selon Abdul rahman ibn abi zanna’d : "Asma avait 10 ans de plus que Aïcha" (Siyar 'la'ma'l-nubala', Al-Zahabi, Vol. 2, p. 289, arabe, Mu’assasatu’l-risalah, le Beyrouth, 1992).

    * Selon Ibn Kathir : "Elle [Asma] est l’aînée de sa sœur [Aïcha] de 10 ans" (Al-Bidayah, wa’l-nihayah Ibn Kathir, Vol. 8, p. 371, Dar Al-fikr Al-` arabi, Al-jizah, 1933).

    * Selon Ibn Kathir : "Elle [Asma] a vu le décès de son fils pendant cette année [73 OH], comme nous l’avons déjà mentionné et cinq jours plus tard, elle-même était décédée".

    * Selon d'autres récits, "elle n’est pas décédée après cinq jours, mais 10 ou 20, ou quelques jours plus tard. Le récit le plus connu est celui de 100 jours plus tard. Du moment de son décès, où elle avait 100 ans." (Al-Bidayah wa’l-nihayah , Ibn Kathir, Vol. 8, p. 372, Dar Al-fikr Al-` arabi, Al-jizah, 1933)

    * Selon Ibn Hajar Al-Asqalani : "Elle [Asma] a vécu 100 ans et est décédée en 73 ou 74 OH." (Taqribu’l-tehzib, Ibn Hajar Al-Asqalani, p. 654, arabe, Bab fi’l-nisa ’, harfu’l al-alif ).

    * Selon presque tous les historiens, Asma, la sœur aînée de Aïcha avait 10 ans de plus qu’elle. 

    * Si Asma avait 100 ans en 73 OH, elle devait avoir 27 ou 28 ans au moment de la Hijrah.

    * Si Asma avait 27 ans ou 28 ans au moment de la Hijrah, Aïcha, elle devait avoir 17 ou 18 ans, donc elle a commencé à cohabiter avec le prophète (*) entre 19 à 20 ans.

    Conclusion n° 4 : Basé sur Hajar, Ibn Katir et Abda’l-Rahman ibn abi zanna’d, l'âge de Aïcha au temps où elle a commencé à vivre avec le prophète(*) serait de 19 ou 20 ans. Dans la Preuve n°3, Ibn Hajar suggère qu'Aïcha avait 12 ans et dans la Preuve n°4 : 17 ou 18 ans. Quel est l'âge exact de Aïcha lors de son mariage, douze ou dix-huit ans ?
    • Ibn Hajar est une source incertaine sur l'âge de Aïcha.

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    PREUVE N°5 : LA BATAILLE DE UHUD

    * Un récit mentionne la participation d'Aïcha dans la Bataille d'Uhud dans El Boukhari ( Kitabu'l-jihad wa’l-siyar, Bab Ghazwi’l-nisa ’ wa qitalihinna ma ` a’lrijal) : "Anas annonce que le jour d'Uhud, les gens ne pouvaient pas supporter leur présence a

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