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Rechercher : se relever de toutes situation

  • Déconstruire le mythe d’une préhistoire sauvage et belliqueuse

    ACTUALITÉS

    source : http:www.monde-diplomatique.fr201507patou_mathis53204

    Source : http://www.monde-diplomatique.fr/2015/07/PATOU_MATHIS/53204

    Déconstruire le mythe d’une préhistoire sauvage et belliqueuse

    * Non, les hommes n’ont pas toujours fait la guerre

    La violence humaine est-elle innée ou induite par le contexte ? Les recherches anthropologiques et archéologiques permettent aujourd’hui de répondre un peu mieux à cette question qui divisa les plus grands philosophes.

    La guerre ne semble apparaître qu’avec la naissance de l’économie de production et le bouleversement des structures sociales du néolithique, il y a environ dix mille ans.

    Par Marylène Patou-Mathis
    Directrice de recherche au Centre national de la recherche scientifique (CNRS), département préhistoire du Muséum national d’histoire naturelle (Paris).

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    * Non, les hommes n’ont pas toujours fait la guerre !

    * Sur la question de la violence chez les humains, deux conceptions radicalement opposées s’affrontent. Le philosophe anglais du XVIIe siècle Thomas Hobbes pensait que la «guerre de tous contre tous» existait depuis l’aube des temps (Léviathan, 1651). Pour Jean-Jacques Rousseau, l’homme sauvage était sujet à peu de passions et a été entraîné dans "le plus horrible état de guerre" par la "société naissante" - (Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes, 1755).

    * L’image de l’homme préhistorique violent et guerrier résulte d’une construction savante élaborée par les anthropologues évolutionnistes et les préhistoriens du XIXe siècle et du début du XXe siècle. Elle a été gravée dans les esprits à la faveur du présupposé selon lequel l’humanité aurait connu une évolution progressive et unilinéaire (1). Dès la reconnaissance des hommes préhistoriques, en 1863, on a rapproché leur physique et leurs comportements de ceux des grands singes, gorilles et chimpanzés. Pour certains savants, cet «homme tertiaire» représentait le chaînon manquant entre la "race d’homme inférieur" et le singe. Puis la théorie dite "des migrations", apparue dans les années 1880, a soutenu que la succession des cultures préhistoriques résultait du remplacement de populations installées sur un territoire par d’autres ; elle a enraciné la conviction que la guerre de conquête avait toujours existé.

    * Sans avoir procédé à une analyse précise de leurs usages, les premiers préhistoriens donnent aux objets taillés des noms à connotation guerrière : massue, casse-tête, coup-de-poing, poignard... Les expositions universelles et les premiers musées reproduisent ce parti pris. Ainsi, le Musée d’artillerie (devenu Musée de l’armée), installé aux Invalides en 1871, propose des collections d’armes pré- et protohistoriques, antiques, historiques et ethnographiques, et, pour chaque période, des mannequins grandeur nature armés, en costume de guerre. Cette présentation instille dans la tête du visiteur l’idée d’une continuité culturelle de la guerre depuis la période la plus reculée de l’humanité. Pourtant, d’après les études actuelles, ces armes étaient utilisées pour tuer des animaux, et non des humains.

    BIENVEILLANCE ENVERS LES INFIRMES

    * Davantage encore que les travaux scientifiques, les œuvres d’artistes et d’écrivains ont construit l’image des préhistoriques et de leur mode de vie : les sculptures d’Emmanuel Frémiet ou de Louis Mascré, les peintures de Paul Jamin ou de Fernand Cormon ; les Etudes antédiluviennes de Pierre Boitard ; et bien sûr La Guerre du feu de J.-H. Rosny aîné, paru en 1911. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, cette image demeure, à de rares exceptions près, celle d’un singe anthropomorphe, souvent une sorte de gorille, espèce considérée alors comme particulièrement sauvage et lubrique. On le représente maniant des armes primitives comme le gourdin ou le coup-de-poing, pratiquant l’esclavage et s’adonnant au meurtre, voire au cannibalisme. Cette vision se retrouve dans la plupart des romans qui fleurissent à partir de 1880.

    * Ces fictions installent dans l’imaginaire populaire un archétype du préhistorique : un héros masculin, viril, confronté à des animaux de grande taille, comme le mammouth, ou féroces, tel le tigre à dents de sabre. Armé d’une massue et vêtu d’une peau de bête, il vit dans une caverne où il taille des outils en pierre. Révolté, instinctif et violent, notre ancêtre se bat pour conquérir le feu, une femme, ou pour venger un être cher. Les conflits sont omniprésents, comme si la guerre était inexorable, en particulier entre des «races» différentes, dont les types sont souvent puisés dans les récits des explorateurs (2).

    * Au début du XXe siècle, s’appuyant sur le comportement des grands singes, certains sociobiologistes, rejoints par des anthropologues et des préhistoriens, soutiennent la thèse selon laquelle nous descendrions de "singes tueurs". L’Homo sapiens, animal brutal car prédateur, se serait répandu hors d’Afrique à travers l’Eurasie en éliminant les autres grands singes bipèdes. Cette hypothèse, avancée en 1925 par le préhistorien Raymond Dart, fut popularisée en 1961 par Robert Ardrey dans Les Enfants de Caïn (Stock). Chasseurs, donc prédateurs, les préhistoriques auraient été agressifs par nature, et la guerre n’aurait été qu’une chasse à l’homme.

    * La mise à mort de l’animal peut apparaître comme l’expression d’une violence humaine intrinsèque. Pourtant, plusieurs études ethnographiques montrent que, dans la majorité des cas, elle exclut toute agressivité de la part du chasseur (3) ; au contraire, elle socialise cette violence nécessaire sur le mode de l’échange cosmologique entre l’homme et la nature (4). En outre, elle contribuerait à la constitution d’un lien social à travers le partage de la proie. Aujourd’hui, l’hypothèse selon laquelle l’homme, parce que prédateur, descendrait de «singes tueurs» est abandonnée, de même que celle de la «horde primitive» proposée par Sigmund Freud en 1912.

    * Défenseur de la théorie de Jean-Baptiste de Lamarck sur l’hérédité des caractères acquis, le père de la psychanalyse soutenait que, en des temps très anciens, les humains étaient organisés en une horde primitive dominée par un grand mâle tyrannique. Celui-ci s’octroyait toutes les femmes, obligeant les fils à s’en procurer à l’extérieur par le rapt. Puis, un jour, «les frères chassés se sont réunis, ont tué et mangé le père, ce qui a mis fin à l’existence de la horde paternelle», écrit-il dans Totem et Tabou, en 1912. Freud développe également les notions de «primitif intérieur» et de «pulsion sauvage» ; les conflits internes représenteraient l’équivalent de luttes extérieures qui n’auraient jamais cessé.

    * Cette «sauvagerie intérieure» ne serait-elle pas en réalité, comme le suggère l’épistémologue et anthropologue Raymond Corbey (5), une «construction mentale imaginaire influencée par les idéologies du XIXe siècle comme le racisme ou l’eugénisme» ? Plusieurs études en neurosciences affirment que le comportement violent n’est pas génétiquement déterminé (6). Même s’il est conditionné par certaines structures cognitives, le milieu familial et le contexte socio-culturel jouent un rôle important dans sa genèse (7). En outre, de nombreux travaux, tant en sociologie ou en neurosciences qu’en préhistoire, mettent en évidence le fait que l’être humain serait naturellement empathique. C’est l’empathie, voire l’altruisme, qui aurait été le catalyseur de l’humanisation (8).

    * En observant les anomalies ou les traumatismes inscrits sur les ossements de plusieurs fossiles humains du paléolithique, on constate qu’un handicapé physique ou mental, même de naissance, n’était pas éliminé. Les restes, vieux de 420 000 à 300 000 ans, d’un enfant Homo heidelbergensis ayant souffert de synostose crânienne précoce ont été retrouvés dans la Sima de los Huesos — la «grotte des os» — sur le site d’Atapuerca, en Espagne. Cette pathologie entraîne un développement anormal du cerveau, ainsi qu’une déformation du crâne. Atteint dès sa naissance d’un retard mental handicapant, cet enfant a survécu jusqu’à l’âge de 8 ans.

    * Dans la majorité des cas de traumatisme, les blessures sont cicatrisées, ce qui démontre que ces hommes prenaient soin de leurs malades ou de leurs blessés et que, malgré leur handicap, ceux-ci conservaient leur place au sein de la communauté. Autre exemple : l’examen du bassin et de la colonne vertébrale d’un Homo heidelbergensis vieux d’environ 500 000 ans, découvert sur le site d’Atapuerca, a montré qu’il souffrait d’une excroissance osseuse vertébrale et d’un glissement de vertèbres. Cet homme, mesurant un mètre soixante-quinze et pesant au moins cent kilos, était donc bossu et devait particulièrement souffrir lors de ses déplacements. Mais il a survécu jusqu'aux alentours de 45 ans grâce aux soins que lui ont prodigués les siens.

    * Si, aujourd’hui encore, dans l’imaginaire populaire, les hommes préhistoriques apparaissent comme des êtres en perpétuel conflit, la réalité archéologique autorise à porter sur eux un tout autre regard. L’analyse des impacts de projectiles sur les os humains, des blessures, de l’état de préservation des squelettes et du contexte dans lequel ils ont été découverts permet de caractériser un acte violent. Actuellement, les plus anciennes traces de violence ont été observées dans un contexte particulier, celui du cannibalisme. Plusieurs preuves archéologiques attestent cette pratique, durant le paléolithique, mais peu témoignent de la mise à mort des individus consommés. En outre, il est impossible de différencier les groupes d’appartenance des «mangeurs» et des «mangés».

    * Quant aux autres marques de violence, l’examen de plusieurs centaines d’ossements humains datant de plus de 12.000 ans a permis de constater leur extrême rareté (9). En outre, elles sont souvent difficiles à interpréter, car elles peuvent tout aussi bien résulter d’un coup porté intentionnellement que d’un accident, en particulier de chasse. Le plus ancien témoignage de violence hors contexte cannibalique a été découvert sur le crâne d’un Homo sapiens archaïque trouvé dans une grotte près de Maba, en Chine méridionale, et vieux de 200 000 à 150.000 ans. La fracture observée au niveau du temporal droit résulterait d’un coup porté à l’aide d’un objet contondant en pierre. Plus de 100.000 ans plus tard, dans la grotte de Shanidar, en Irak, un crâne de néandertalien âgé de 30 ou 40 ans (Shanidar I) présente deux écrasements : l’un au niveau de l’écaille frontale droite et l’autre au niveau de l’orbite gauche. Cependant, comme le fait observer le fouilleur, ces marques peuvent avoir été produites par l’éboulement du plafond qui a eu lieu après l’ensevelissement du corps.

    * En Europe, le frontal d’une néandertalienne adulte, exhumé dans un banc de graviers de la rivière Vah, près de Sala, en Slovaquie, porte la marque d’un objet tranchant ayant entraîné une blessure non mortelle. A Saint-Césaire, en Charente-Maritime, une jeune femme néandertalienne a elle aussi reçu un coup sur la partie droite avant de son crâne. Porté avec un instrument très aiguisé, il aurait entraîné une forte hémorragie et une commotion cérébrale, voire un coma. Par ailleurs, des blessures provoquées par l’impact d’un objet pointu en bois ou en pierre ont été observées sur quelques squelettes (vieux de 60.000 à 45.000 ans) de néandertaliens, à Shanidar, et d’hommes modernes, à Skhul, en Israël.

    MEURTRES OU ACCIDENTS DE CHASSE ?

    * Ces blessures résultent-elles d’un accident ou d’un acte de violence lors d’un conflit entre personnes, entre communautés ou entre groupes ? Pour ces périodes anciennes, la distinction est difficile à faire. Cependant, dans plusieurs cas, les blessures, notamment celles dues à un choc ou à un coup porté à la tête, sont cicatrisées. Ces personnes n’ont pas été achevées, ce qui laisse penser qu’elles portent plutôt les séquelles d’un accident ou d’un combat arrêté avant la mort, suggérant davantage une querelle interpersonnelle. Seuls l’homme de Skhul et, peut-être, le garçon de la «grotte des enfants» aux Balzi Rossi, en Italie, semblent avoir subi des violences. Mais de la part de qui ? Un membre de leur communauté ou un individu extérieur à leur groupe ? La question demeure actuellement sans réponse.

    * Les néandertaliens de Shanidar, d’après l’étude menée par le paléoanthropologue américain Erik Trinkaus (10), auraient été victimes d’accidents de chasse. La distribution des lésions — situées principalement à la tête et aux bras — de plusieurs d’entre eux correspond à celle observée sur les os de professionnels du rodéo et révèle des traumatismes résultant de chutes violentes sur le sol. Les néandertaliens étaient des chasseurs de grands mammifères ; leurs armes nécessitaient l’approche, voire le corps-à-corps avec l’animal, et il est donc fort probable que des accidents se produisaient. En outre, lorsque les chasseurs tiraient le gibier, les projectiles pouvaient rater leur cible et frapper un de leurs compagnons.

    * Quelques rares figurations du paléolithique supérieur montrent des humains transpercés de traits, sur les parois des grottes de Cougnac et du Pech Merle, dans le Lot, et sur le galet de la grotte Paglicci, en Italie. Ces représentations sont souvent appelées "homme blessé" ou "homme fléché", car, pour certains préhistoriens, ces signes symbolisent des pointe

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  • Virginité

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    * La virginité concerne l'homme tout autant que la femme.

    * Etre vierge signifie être exempt de tous défauts intérieurs (violence, colère, mensonge, envie de blesser, d'humilier, de violer, de tuer, etc...). 

    * La virginité des Hommes (H= hommes et femmes) doit témoigner de cet état d'être, de ce changement intérieur.

    * Etre vierge est, primordialement, un état de conscience pour devenir un Homme (H= homme et femme) nouveau, changé, tendant à la transcendance.

    * Accepter d'être vierge, cela appelle — non pas à obéir à un code social, moral, religieux, codes créés par les hommes pour dominer les femmes — être vierge cela appelle au désir, à la volonté profonde, de se connaître soi-même.

    * Chaque Homme (hommes et femmes) est garant seul et seulement de sa propre virginité tant intérieure qu'extérieure !

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    Homme ⇒ H= hommes et femmes

    * La virginité des hommes et des femmes représente bel et bien l'effort en soi de refuser d'agir de mauvaise façon, ou dit autrement, faire l'effort de traiter les autres Humains comme chacun-e aimerait être traité-e = correctement, respectueusement, sans jugement aucun ; en respectant l'individualité propre et la liberté totale de chaque Homme ; en mettant en avant l'intelligence du cœur (comprendre en profondeur l'autre), etc...

    * Si l'Homme continue d'imposer des codes extérieurs (moraux, sociaux, religieux) et ne considère valable que ceux-ci, alors cela dénote une méconnaissance profonde et totale de l'Être Humain et évidemment de lui-même (voir ici).

    * Cette méconnaissance de lui-même entraîne arbitrairement la méconnaissance de la Femme, puisque, tout le monde le sait, la virginité est considérée seulement extérieurement et est reportée exclusivement que sur les femmes.

    * Ces codes extérieurs arbitraires imposés par certains hommes, sont malheureusement copiés et entretenus par certaines femmes, par peur et crainte d'être rejetées voire tuées (hélas cela existe toujours), et également pour être acceptées et reconnues comme une "bonne fille" ou une "bonne mère".

    * Ces codes extérieurs empêchent la femme d'être une vraie femme, de vivre en tant que "femme" idest en tant qu'Être Humain total doté de Liberté, donc totalement libre de choisir son existence propre ; la liberté étant un don de l'Energie Cosmique (appelé aussi Dieu, Allah, Le Saint, l’Éternel, la Vie, etc...),.

    COUPURE EN SOI = ÉCHEC ET SOUFFRANCE

    * En se coupant de sa Puissance Divine ou Divinité en lui, l'Homme a créé le doute qui amène un manque de confiance total envers les autres et à fortiori envers lui-même.

    * L'Homme ne voit la virginité que par rapport au corps, particulièrement au sexe, et dans sa folie l'a étendue non seulement à la famille, mais aussi à l'appartenance à un groupe socio-religieux pour mieux contraindre, mieux maîtriser, mieux interdire.

    * Et cette représentation absurde et abjecte qui limite les êtres — tout particulièrement les femmes, dans toutes les cultures avec plus ou moins de rigueur, de violence — est limitative et culpabilisante envers les femmes et sclérosante pour les hommes.

    * En effet, ceux-ci, en maîtrisant le sexe des femmes, tombent dans le refoulement sexuel, la frustration et en arrivent à agir de façon contraire à ce que leur éducation, leur morale et croyance socio-religieuse réprouvent. Ils créent et entretiennent une hypocrisie qui ne dit pas son nom.

    * En refusant la sexualité aux femmes, avec plus ou moins de rigueur parfois mortifère, certains hommes se sont privés eux-mêmes de choisir librement, ont brimé leur propre sexualité en transformant leurs désirs en pulsions, et parfois en dévoyant leur propre nature — certains hommes pratiquent en cachette l'homosexualité pour pallier leur frustration tout en condamnant l'homosexualité chez les autres, le comble de l'hypocrisie.

    * Emprisonner sexuellement les femmes, revient pour certains hommes à s'enfermer dans leur propre prison.

    * Alors la vue de femmes libres, maîtresses de leurs sexes — donc de leur corps, de leurs choix sexuels — jette ces hommes (voire même certaines femmes) dans une immense souffrance/colère, engendrant et justifiant leurs propos mauvais et dégradant, ainsi que leurs regards et parfois actes négatifs à l'encontre de ces femmes qui, par leur façon de vivre, pourraient faire vaciller leurs valeurs dominatrices instituées en vérité absolue qu'ils imposent à celles qu'ils dominent sexuellement.

    * Mais sournoisement ces hommes profitent de certaines femmes responsables de leur corps et sexe, tout en refusant la même chose à celles qu'ils tiennent enfermées dans ce carcan sexuel hypocrite, carcan créé de toutes pièces à leur propre image et/ou interprétation religieuse psychologiquement malade et défaillante. 

    * L'Homme, coupé de sa Dimension Divine, de sa Puissance en lui, a fait dévier ses différentes enceintes de vie, notamment sexuelle, faisant à l'extrême surgir la perversité sous toutes ses formes et des rapports de force entre les genres qui n'existaient pas à l'origine. 

    * La grandeur d'un Homme ne se mesure pas au fait de savoir garder son sexe ou pas.

    * La grandeur d'un Homme ne se mesure pas à la façon dont l'Homme maîtrise son sexe et encore moins celui de l'autre.

    SE CONNAITRE SOI-MÊME = MAÎTRISE TOTALE DE SOI-MÊME

    * La grandeur d'un Homme se mesure à sa façon de penser, de se considérer, de la connaissance qu'il a de lui-même et à fortiori des autres, qui amènera la maîtrise totale de lui-même (corps, esprit, âme). Parce que l'extérieur n'est que le reflet de ce que l'Homme est intérieurement.

    * Cet Homme, se connaissant intérieurement, saura alors comment se conduire, se comporter extérieurement. Cet Homme sera maître de sa vie et maître de son corps et donc maître de son sexe.

    * Les femmes tout particulièrement, par la façon d'être créées, sont plus aptes à agir ainsi et se connaissent mieux que certains hommes qui croient tout savoir sur elles.

    * Une femme se connaissant intérieurement, connaît très bien son corps et est maître de son corps, et évidemment est maître de son sexe.

    * Elle sait mieux que les hommes l'attitude à avoir, ce qui lui convient, ce qui lui déplaît.

    * Elle est seule à même de savoir quel homme est digne d'elle — un homme qui se connaît aussi lui-même — et à fortiori celui qu'elle acceptera en elle (dans son corps).

    * La femme doit garder intégralement son choix, son libre arbitre. Sa connaissance d'elle-même lui donne une hauteur de vue incommensurable, sur elle et sur le monde.

    1 Samuel 16 :7 - "L’homme regarde à ce qui frappe les yeux,
    mais l’Éternel regarde au cœur."

    * Ce n'est ni la mère, ni le père, ni le frère, qui savent mieux qu'elle ce qui lui convient. Cette croyance est totalement fausse et totalement créée, non seulement pour dominer tout de son esprit, de son corps et de son sexe, mais aussi pour entretenir la méconnaissance de soi-même, ou pire par ignorance de cette connaissance primordiale ! 

    * Des parents, des frères, ne se méconnaissant pas ou plus du tout = étant coupés de leur propre Divinité ou Puissance en eux, appliqueront les règles et les codes extérieurs — inventés ou mal compris pour contraindre et dominer — et ne considéreront plus leurs filles, leurs sœurs et par extension les femmes en général comme des êtres entiers (créés à l'image et ressemblance de la Source Divine) mais comme des êtres objectivés créés seulement pour se marier et pour reproduire.

    * Avec de tels parents, frères, sœurs, ne se connaissant totalement pas intérieurement, règne au sein d'une telle famille : la contrainte, la peur, la violence (imposer un homme à une femme est une grande violence, idem pour un homme), la contrainte virginale (la virginité physique fait partie de soi et n'appartient à personne d'autre qu'à soi-même), les non-dits sur la sexualité, le manque de dialogue, le manque de confiance, etc...

    * Par contre si des parents, frères, sœurs se connaissent intérieurement, alors au contraire règne dans cette famille l'amour, la confiance totale particulièrement envers les femmes, le vrai dialogue, le respect et plus que tout le désir que chaque enfant découvre son propre chemin de vie et se réalise totalement, librement.

    * L'individualité propre de chaque enfant est totalement respectée et ces enfants savent discerner ce qui est bon pour eux de ce qui ne l'est pas. Ils savent choisir grâce à la connaissance qu'ils ont d'eux-mêmes, connaissance qui les fait devenir réfléchis et maîtres d'eux-mêmes dans leur totalité (corps, esprit, âme). 

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  • Le baptême

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    Baptême chrétien = "sacrement destiné à laver le péché originel et à faire chrétien celui qui le reçoit".

    Étymologie du mot Baptême : baptême est un emprunt, par l'intermédiaire du latin ecclésiastique baptisma, au grec βάπτισμα, dérivé de βαπτίζειν baptizein, fréquentatif du verbe βάπτειν baptein ("plonger dans un liquide", "immerger").

    Hommes →  H = hommes et femmes

    EN ONTOLOGIE (voir ici) — Métaphysique ou connaissance de soi ou Science de l'Etre — le baptême représente la prise de conscience de l'Homme de ses pouvoirs intérieurs, de ses outils, dont il doit user droitement, pour l'amener à sa transformation intérieure  - par la réflexion spirituelle, la pensée et sentiment positifs.

    * Cette transformation interne, faite en conscience, librement réfléchie et accomplie, rejaillit sur lui-même et simultanément à l'extérieur de lui.

    Ce baptême n'a rien à voir avec le baptême religieux, qui lui, est une interprétation mensongère et une récupération abusive, d'un humain dans une communauté religieuse.

    Extrait de : http://www.kanzlei-sailer.de/pape-plainte_contre-2011.pdf :

    "L’Eglise catholique-romaine recrute ses membres par la contrainte, en baptisant des nourrissons incapables de décider pour eux-mêmes, comme cela est inscrit dans le Code du Droit Canonique (CDC), sous can. 96 : "Par le baptême, un être humain est incorporé à l'Eglise du Christ..."

    En général, le baptême est donné à des nourrissons. Les parents d’obédience catholique sont contraints de croire que le nouveau-né naît avec la tache du péché originel, et que seul le baptême peut l’en libérer.

    Voici comment cela est expliqué textuellement dans le catéchisme actuel de l’Eglise catholique-romaine :

    «Naissant avec une nature humaine déchue et entachée par le péché originel, les enfants eux aussi ont besoin de la nouvelle naissance dans le Baptême afin d’être libérés du pouvoir des ténèbres et d’être transférés dans le domaine de la liberté des enfants de Dieu, à laquelle tous les hommes sont appelés… L’Eglise et les parents priveraient dès lors l’enfant de la grâce inestimable de devenir enfant de Dieu s’ils ne lui conféraient le Baptême peu après la naissance». (Catéchisme de l’Eglise catholique, N° 1250)".

    Voir aussi : http://ctrussell.fr/vol6et10.htm

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    Hommes → H = hommes et femmes

    * Lorsque l'Homme se connaît ou apprend à se connaître (voir ici), lorsqu'il découvre la Science de son Etre (ou Ontologie), alors il découvre la Vraie Signification du baptême.

    VRAIE SIGNIFICATION DU BAPTÊME

    * Le baptême est le symbole de la purification qui amène l'Homme à la transformation, par la science de son être (ontologie), la pensée juste.

    * Le baptême représente symboliquement l'éveil de l'Homme à ses pouvoirs intérieurs, à la découverte de son trésor intérieur, ce Royaume en lui = la sagesse, la compréhension avec le cœur (ou intelligence du cœur), l'amour, la création, son individualité propre, sa liberté, etc... qui sont des outils dont il doit se servir avec équité pour évoluer.

    * Dire qu'un Homme adulte  peut être éveillé spirituellement ou faire l'expérience d'une transformation intérieure parce qu'il est plongé dans une piscine ou parce qu'on lui verse de l'eau sur la tête, est complètement absurde et très réducteur.

    * Dire de même d'un nouveau-né qu'il est éveillé spirituellement, libéré de tout péché originel (voir ici), ou transformé intérieurement, dès que le prêtre lui verse de l'eau sur la tête, est complètement absurde, complètement faux et est une atteinte à sa liberté (don de Dieu), à ses futurs choix de vie.

    * La Bible se sert de choses tangibles pour représenter des attitudes mentales, des sentiments, des croyances, dont le but est d'amener l'Homme à réfléchir sur lui-même en profondeur et à se changer intérieurement.

    L'EAU

    * L'eau (dans la Bible) représente l'inspiration, la direction divine, un changement interne pour se tourner vers la Puissance Divine en nous, que Dieu (nommé aussi Energie Cosmique, Allah, L’Éternel, Ahura Mazda, etc) a déposé dans le cœur ou subconscient de chaque Etre Humain.

    L'Homme doit s'immerger dans cette Eau-là !!!

    * L'eau symbolise la Vérité idest la connaissance profonde de soi-même.

    * L'eau représente :

    l'unité ou l'harmonie en soi ou l'indivisibilité (Un en soi = aucune autre puissance que la Puissance de Dieu ne doit régner en soi et hors de soi- voir ici),

     l'intégrité, la pureté, l'action qui est changement sur soi et hors de soi simultanément.

    PÉCHÉ = RATER LE BUT

    * Quant à la transmission du péché originel (voir ici) — invention aberrante des religieux — dont il faudrait purifier le nouveau-né par le baptême, cela est une invention pure et simple car le péché originel n'existe pas (voir ici).

    * Aucun être humain n'est entaché par un péché originel et encore moins un bébé qui est proche de Dieu Source Divine.


    LE VRAI BAPTÊME =
    L'UTILISATION DE NOS PROPRES 
    TRÉSORS 
    INTÉRIEURS
    DANS UNE HAUTE CONSCIENCE DE NOUS-MÊMES

    * Dès l'origine, dès que l'Homme a reçu le Souffle Divin (Rouah) ou de Vie (Genèse 2,7) il a été appelé à vivre spirituellement, à devenir un être spirituel.

    * L'Homme, en se coupant ou refusant de se reconnecter à sa Force Interne Divine —mise en lui dans son subconscient — a créé et continue de croire en une autre puissance que la Source Divine (Dieu, Allah, Adonaï, etc).

    * Il a alors créé une puissance antagoniste, négative (voir ici) qu'il ne doit plus suivre, vivant ainsi dans le manichéisme (voir ici).

    * L'Homme est appelé à choisir consciemment quelle puissance suivre pour, impérativement, faire cesser ce manichéisme qu'il a créé de toute pièce (voir ici).

    * Seul le Vrai baptême — qui est la mise en pratique de la connaissance profonde qu'il a de lui-même, lui permet cela.

    INVENTION DES "LIMBES" (voir ici)

    * Le baptême du nouveau-né est caduque puisque mal compris :

    Le nouveau-né, ne naît pas avec une nature humaine déchue et entachée par le péché originel : ce péché originel inventé de toute pièce, n'existe pas (voir ici) !

    Le nouveau-né ne se trouve pas, s'il venait à mourir, dans les limbes (voir ici) croyance inventée au XIIIème siècle dans la pensée scolastique. Cette croyance perdure encore de nos jours.

    Pourquoi faire d'un nouveau-né, un petit être ayant une nature entachée dès la naissance, et que seul le baptême délivrerait et libérerait du pouvoir des ténèbres ? 

    Ne dit-on pas que les enfants sont proches de Dieu ?

    * Le nouveau-né, baigne certes dans un entendement familial conditionné.

    * Il grandit à l'image et ressemblance de l'atmosphère mentale qui domine au foyer. Mais il vit encore pour quelques temps dans le royaume divin. Le temps que la culture, la croyance et l'éducation fassent leur œuvre sur lui.

    * C'est en grandissant qu'il prendra conscience de ce qui est juste et injuste, de QUI il est vraiment et CE qu'il est profondément.

    Et ce n'est que bien plus tard — très souvent à l'âge adulte et conscient par ses expériences plus ou moins heureuses qui le nourrissent et le font grandir — qu'il découvrira la sagesse, la puissance et l'intelligence divine qui résident en lui (ce Royaume en lui).

    * Il prendra alors conscience de l'existence de ses dons en lui (puissance créatrice de ses pensées, de ses émotions, de ses paroles et actes) qu'il mettra en pratique.

    * C'est librement et dans une haute conscience de lui-même, que l'Homme utilisera tout son trésor intérieur, qu'il le mettra en œuvre = il accomplira alors consciemment le vrai baptême.

    L'HOMME EST SEUL MAÎTRE DE SON BAPTÊME

    * L'Homme, par sa liberté, son libre-arbitre, sa connaissance de lui-même (voir ici), sa découverte de Qui il est et Ce qu'il est, SE BAPTISE LUI-MÊME.

    * LE VRAI BAPTÊME = prendre conscience de son formidable potentiel interne dont l'Homme peut user à tout moment !!! 

    L'Homme est en cela bel et bien maître de son baptêm

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  • Dieu m'a donné un signe

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    ÉTÉ 1992

    Hommes → H = hommes et femmes

    * Allant pour la première fois à Arès, je demandais à Dieu un signe concernant la Révélation d'Arès et ainsi avoir l'assurance que cela venait bien de Lui.

    * Dieu m’a donné ce Signe à la sortie du lieu de prière, le voici :

    * J’entrais pour la première fois dans le lieu — nommé Maison de la Sainte Parole — où Jésus en 1974 puis Dieu en 1977 ont livré leur message.

    * A la fin de la prière, je sortis de ce lieu et me dirigeai vers le camping, quand soudainement, à l’intérieur de moi, au milieu de ma poitrine, tout remuait, tout se chamboulait, j'avais l'impression qu'une main remuait mon cœur.

    * Je ne comprenais pas, j’étais mal à l’aise, je me sentais bizarre, proche du malaise. Et tout d’un coup j’ai compris que Dieu me demandait de fermer la porte laissée entrouverte. Je le sentais en moi. Je savais avec certitude.

    * Je me souviens de ma réaction : j’étais en colère contre Dieu. Je Lui disais "Mais pourquoi tu ne l’as pas fait à ce moment-là ? Je ne savais pas, il ne fallait pas m’écouter. Je n’ai pas envie de le faire. Tu n’as qu’a Le faire Toi-même".

    * En réalité je m’en voulais à moi-même inconsciemment, je craignais qu'il y ait beaucoup de travail à faire sur moi-même et que je n’aurais pas la capacité de l'accomplir !

    * Pendant que je vivais tout cela intérieurement, extérieurement je croisais des gens et m’efforçais de sourire. Personne ne devinait ce qui se passait en moi.

    * Pour comprendre pourquoi Dieu me demandait de fermer totalement la porte, je suis obligée de raconter un peu de ma vie, voici :

    C’était le jour de mon accouchement le 10 février 1985, seule journée où j’étais seule dans la chambre (une future maman voisine ne devant venir que le lendemain) que j’ai eu la vision. J’étais assise sur le lit face à la fenêtre, je donnais le sein à ma fille, quand tout à coup j’ai senti qu’il fallait que je me retourne. Et là, sur le grand mur blanc de la pièce, j’ai vu une main blanche géante qui lançait une porte pour la fermer totalement — porte grande ouverte. J’ai compris que derrière cette porte se trouvaient toutes mes souffrances (physiques, morales, psychologiques) de l’enfance, et que Dieu allait la claquer pour mettre fin à tout ce qui pourrait entraver désormais à la bonne continuation de ma vie !!

    La porte allait se refermer complètement, lorsque tout à coup j’ai dit à Dieu : "Seigneur je ne veux pas grandir". Bien sûr ce n’était pas le refus de mûrir ou d’être adulte mais tout simplement je craignais qu’en fermant cette porte j’allais perdre une beauté de l’enfance et devenir une mère dure et terrible, alors que je voulais tout le contraire pour mon enfant.

    Dieu a alors laissé la porte entrouverte. Je ne me doutais pas que 7 ans après il me demanderait de la fermer complètement. Mais avec le recul je me dis "Tout ce qu’il m’a fait gagner, c'est énorme !"

    * Je pense que moi, plus que d’autres, je me dois de beaucoup évoluer, car Dieu m’a toujours aidé — durant mon enfance, ce jour-là et même bien après. Je lui dois beaucoup.

    * 1) La Révélation d'Arès m’a fait comprendre certaines choses et conforté dans d'autres, bien que des attitudes et propos du "témoin" et de ceux qui le suivaient, fussent trop souvent en contradiction totale avec ce qui était écrit dans ce livre.

    * Excédée par leurs attitudes "dominant-dominé" faisant abdiquer leur propre conscience et liberté pour épouser celle du "témoin" qui était défié par certains, eux-mêmes se sentant agressés par mes propos parce que ne sachant gérer mes émotions — je m'emportais très facilement à cette époque (voir ici) — le plus grand bienfait que je reçus de leur part fut d'être renvoyée*--* de ce mouvement religieux extrême (qui, je pense, a dû évoluer depuis mon renvoi, car tout Homme évolue !).

    * 2) Ensuite, il y eut le travail personnel fait avec les humanistes qui m’a aidé à énormément évoluer. J'ai ainsi pu constater que ce que j'attendais chez les religieux d'Arès, je le découvrais chez des hommes et des femmes — athées pour la plupart — mais ayant une haute conscience spirituelle :

    une belle fraternité,

    la mise en application de la cohérence indispensable pour se changer et faire comprendre la force transcendante de l'Humain.

    Aucun jugement sur les autres, ils sont acceptés dans leur entièreté.

    * 3) Enfin grâce à mon renvoi de ce groupe religieux arésien, Dieu me fit connaître l’ontologie qui m’a particulièrement éclairé sur les Écritures.

    * Celles-ci interprétées à la lettre sont une aberration, mais lues avec l'esprit elles sont une libération pour l'Homme. 

    * L’Éternel m'a guidé, lorsque je lui ai demandé Son aide après mon renvoi d'Arès, vers des livres ontologiques pour :

    comprendre et connaître Qui je suis et Ce que je suis,

    me remettre en question profondément,

    savoir me connecter à mon Etincelle Divine en moi,

    appliquer cet enseignement pour aller encore plus haut dans la spiritualité !

    --------

    *---- * Au moment d’être renvoyée, je promettais à Dieu 2 choses, que je m'étais engagée à tenir durant une semaine.

    * A la fin de la semaine, un soir tard, allongée dans mon lit, je sentis tout tourner au niveau du plexus solaire. J’ai cru que j’allais m’évanouir. Étonnée je pensais "on peut s’évanouir allongé".

    * Mais — et je ne sais absolument comment — au moment même où je me disais cela, je me suis retrouvée debout près de la fenêtre (le lit étant éloignée de la fenêtre) et une immense Énergie d’Amour m’enveloppait.

    * Énergie immense difficile à décrire mais je savais qu’elle était étendue partout dans l’Univers tout en étant liée à moi.

    * Une voix sortit de cette Énergie, voix que j’entendis hors de moi et en moi simultanément (au niveau du plexus solaire). Elle me dit 2 fois "Tu m’avais promis, tu m’avais promis". Et c’est vrai que je n’avais pas tenue mes 2 promesses.

    * Je m'étais dit "Il me gronde" tout en souriant, et émerveillée je lui disais "Père c'est Toi !!" tout en sentant cet immense amour –indescriptible et que je devinais étendu partout – malgré qu'Il était déçu je pense, que je n'ai point fait, à ce moment-là, ce que je Lui avais promis.  *---- *

    --------

    * Dieu est d'une nature inconnue de l'Homme. Dans le Coran il est dit à juste titre que Dieu est indescriptible. A l'un Il se dévoilera d'une façon, à un autre d'une autre, car Il tient compte, je suis sûre, de la personne en sa totalité.

    * Merci à Lui pour toute l'aide qu'Il m'a apportée !!!

    --------

    * Précision :

    Hommes → H = hommes et femmes

    * Dieu n'est pas le Dieu des religions qui a souvent, ce dieu, tous les défauts des Hommes. Dieu n'est pas non plus Jésus : le Dieu incarné en un homme.

    * La religion chrétienne, ayant occulté le Féminin de tous les Hommes, a mis tout à l'extérieur et a ainsi créé un Dieu s'étant incarné dans le corps d'un homme, ici Jésus.

    * Jésus est un homme, qui comme tous les Hommes sur la terre, a une partie divine en lui qui peut être utilisée librement puisque tout Homme est créé libre. Et cette partie divine en tout Homme est un trésor, ce Royaume qu'il faut connaître. 

    * Jésus soulignait la filiation divine de l'Homme, ce qui causait la colère autour de lui. Comme tout Homme a cette part divine en lui, les Hommes sont bel et bien, comme Jésus, fils et fille de Dieu. Du moins ils doivent redevenir des Dieu puisque les Hommes ont Les Attributs de Dieu ; et pour devenir en tant que Dieu, ils doivent se connaître profondément (voir ici et ici).

    Psaume 82 : "Vous êtes des dieux, Vous êtes tous des fils du Très-Haut."

    * Grâce à cette étincelle divine en tous les Hommes, ceux-ci peuvent devenir en tant que Dieu, idest faire comme Jésus a fait, ils deviendront ainsi des Êtres Divins ou pour les croyants chrétiens, des Christ en puissance.

    Témoignage de Maryse
    Administratrice de ce blog

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    ©Maryse - etredivin.hautetfort.com

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