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* James Allen (voir ici) est un écrivain et philosophe britannique, né le 28 novembre 1864 à Leicester (Angleterre) et décédé le 24 janvier 1912.
CITATION DE JAMES ALLEN
— "Le doute et la peur sont les grands ennemis de la connaissance".
— "Un homme ne commence à être un homme, que lorsqu'il cesse de se lamenter et de vilipender, et commence à rechercher la justice cachée qui régit sa vie".
— "L'esprit est le maître tisserand, à la fois du vêtement intérieur du caractère et du vêtement extérieur de circonstance".
— "Les bonnes pensées portent de bons fruits, les mauvaises pensées de mauvais fruits."
— "Les circonstances ne font pas l'homme, elles le révèlent à lui-même."
— "Les Hommes n'attirent pas ce qu'ils veulent, mais ce qu'ils sont."
* Les lunettes à 1 dollar, sont créées par l'Allemand Martin Aufmuth (voir ici), professeur de physique.
*Alors que, selon l'OMS, 150 millions de personnes à travers le monde sont trop pauvres pour financer la paire de lunettes de vue dont elles auraient besoin, un professeur de physique allemand a mis au point des lunettes à un dollar pièce, rapporte The Guardian.
*Martin Aufmuth, dont la fondation OneDollarGlasses a remporté le premier prix du Siemens Stiftung Award en octobre 2013, a eu l'idée de ce projet en lisant le livre "Out Of Poverty" de Paul Polak. Sa thèse est simple: utiliser le marché local pour réduire la pauvreté.
*Sur le site de la fondation, Martin Aufmuth explique :
"La grande pauvreté ne signifie pas uniquement la faim, mais aussi la maladie, le désespoir et les opportunités manquées tout au long de la vie.
150 millions de personnes dans le monde ont besoin d'une paire de lunettes.
Beaucoup ne peuvent pas aller à l'école pour cette raison, ne peuvent pas travailler et ne peuvent pas – en conséquence – subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles. C'est ce que je veux changer."
*Les lunettes de Martin Aufmuth sont d'une redoutable simplicité, explique The Guardian: deux verres de polycarbonate très résistants, dont la correction s'échelonne de -6 à +6 dioptries, clipsés sur une monture faite d'un fil d'acier inoxydable, recouvert de plastique thermoformable aux points de pression, fini de deux perles colorées pour customiser le tout.
"Nous sommes d'avis que même les plus pauvres ont droit à de jolies lunettes, comme n'importe qui !"
* "Nous sommes d'avis que même les plus pauvres ont droit à de jolies lunettes, comme n'importe qui !" est-il écrit sur le site OneDollarGlasses.org.
*Très légères, elles n'ont pas besoin de plaquettes pour tenir sur le nez, et leurs branches ne se replient pas : ce sont autant d'économies supplémentaires que de pièces risquant de casser en moins.
*Un opticien, formé en une quinzaine de jours par le programme OneDollarGlasses, fabrique une paire de lunettes en 15 minutes, selon les chiffres-clé mis en avant sur la fiche produit du Siemens Stiftung Award, sur une petite cintreuse pouvant fonctionner avec une faible alimentation électrique.
*Le coût de fabrication des lunettes s'élève à moins d'un dollar, ce qui permet une commercialisation à un prix compris entre deux et sept dollars et à l'opticien de vivre de son activité, selon The Guardian.
* La cintreuse, qui peut être utilisée par trois à quatre opticiens travaillant ensemble, avec les verres et montures pour 1.000 paires de lunettes, coûte environ 2.400 euros, entièrement supportés par les donations au programme, selon le Siemens Stiftung Award.
*Le programme a initialement été lancé en Ouganda, avant de s'exporter au Rwanda, pays de 11,4 millions d'habitants qui ne compte que 11 ophtalmologistes selon OneDollarGlasses.
* Il a depuis essaimé en Tanzanie, au Burkina Faso et en Bolivie.
* Selon le site du Siemens Stiftung Award, la mauvaise vue non corrigée coûte chaque année la somme de 120 milliards de dollars de PIB mondial.
*Lorsque vint à maconnaissance des propos malveillants remplis de préjugés qu'une femme de la religion arésienne fit à mon encontre, une grande colère m'envahit. Voulant éviter de me faire envahir par cette grande colère que me provoquaient non seulement les propos injustes et mensongers répétés, mais surtout toute l'ignorance et la méchanceté que la calomnie impose, je préférais me tourner vers l’Éternel, Énergie Cosmique.
* Je lui dis autoritairement : "Suis-je cette femme-là, mauvaise, aventurière, faisant du tort à tous et dont il faut se méfier et tenir éloignée absolument, comme décrite ? Suis-je cette femme cruelle ?? Réponds-moi !!"
* Pour me calmer je décidais de prendre le métro et d'aller jusqu'au bout de la ligne, quitte à faire des aller-retours, jusqu'à ce que je me calme.
* Au bout de 4 stations, une maman, une belle femme rousse, entra dans la rame où j'étais. Sa petite fille de 4 ans vint s'asseoir à côté de moi. L'autre petite fille, un bébé qui commençait à parler, installée dans sa poussette me regardait intensément.
* Tout d'un coup elle pointa le doigt sur moi et dit en regardant sa maman : "Regarde, elle est pas cruelle, elle, elle est pas cruelle".
*La maman, tout comme moi, fut stupéfaite. Elle dit : "mais comment connais-tu ce mot ?" et la petite répéta la phrase. "Elle est pas cruelle".
* Abasourdie je sortais du wagon et remerciais Dieu.
*Je n'avais pas osé alors, je l'avoue, donner d'explication à la maman, ce que j'aurai fait aujourd'hui.
* J'étais chez ma grand-mère pour lui présenter ma fille, née quelques semaines auparavant.
*Le soir, assise dans mon lit, mon bébé dans son berceau à côté de mon lit, j'ai entendu notre chatte Riquette — décédé 3 ans auparavant — ronronner près de mon oreille et je savais du fond du fond de mon cœur, que non seulement c'était elle qui était là, mais, qui plus est, venait me féliciter
*Lorsqu'elle était vivante, je l'adorais et lorsqu'elle attendait des petits je prenais grandement soin d'elle. Je la chouchoutais.
*J'étais surprise, très touchée et tellement heureuse qu'elle soit venue me féliciter.