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L'ÊTRE HUMAIN - Page 11

  • "L'Homme est ce qu'il pense" James Allen

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    L'homme est ce qu'il pense.pdf

    As A Man Thinketh.pdf

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    * James Allen (voir ici) est un écrivain et philosophe britannique, né le 28 novembre 1864 à Leicester (Angleterre) et décédé le 24 janvier 1912. 

    CITATION DE JAMES ALLEN

    "Le doute et la peur sont les grands ennemis de la connaissance".

     "Un homme ne commence à être un homme, que lorsqu'il cesse de se lamenter et de vilipender, et commence à rechercher la justice cachée qui régit sa vie".

     "L'esprit est le maître tisserand, à la fois du vêtement intérieur du caractère et du vêtement extérieur de circonstance".

     "Les bonnes pensées portent de bons fruits, les mauvaises pensées de mauvais fruits."

     "Les circonstances ne font pas l'homme, elles le révèlent à lui-même."

     "Les Hommes n'attirent pas ce qu'ils veulent, mais ce qu'ils sont."

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    ©Maryse - etredivin.hautetfort.com

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  • Les lunettes à 1 dollar

     https://www.youtube.com/watch?time_continue=1&v=HsWGlJKz67w

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    Source : http://www.slate.fr/economie/81813/lunettes-un-dollar

    * Les lunettes à 1 dollar, sont créées par l'Allemand Martin Aufmuth (voir ici), professeur de physique.

    * Alors que, selon l'OMS, 150 millions de personnes à travers le monde sont trop pauvres pour financer la paire de lunettes de vue dont elles auraient besoin, un professeur de physique allemand a mis au point des lunettes à un dollar pièce, rapporte The Guardian. 

    * Martin Aufmuth, dont la fondation OneDollarGlasses a remporté le premier prix du Siemens Stiftung Award en octobre 2013, a eu l'idée de ce projet en lisant le livre "Out Of Poverty" de Paul Polak. Sa thèse est simple: utiliser le marché local pour réduire la pauvreté.

    * Sur le site de la fondation, Martin Aufmuth explique :

    "La grande pauvreté ne signifie pas uniquement la faim, mais aussi la maladie, le désespoir et les opportunités manquées tout au long de la vie.

    150 millions de personnes dans le monde ont besoin d'une paire de lunettes.

    Beaucoup ne peuvent pas aller à l'école pour cette raison, ne peuvent pas travailler et ne peuvent pas – en conséquence – subvenir à leurs besoins et à ceux de leurs familles. C'est ce que je veux changer."

    * Les lunettes de Martin Aufmuth sont d'une redoutable simplicité, explique The Guardian: deux verres de polycarbonate très résistants, dont la correction s'échelonne de -6 à +6 dioptries, clipsés sur une monture faite d'un fil d'acier inoxydable, recouvert de plastique thermoformable aux points de pression, fini de deux perles colorées pour customiser le tout.

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    "Nous sommes d'avis que même les plus pauvres ont droit à de jolies lunettes, comme n'importe qui !"

    * "Nous sommes d'avis que même les plus pauvres ont droit à de jolies lunettes, comme n'importe qui !" est-il écrit sur le site OneDollarGlasses.org.

    * Très légères, elles n'ont pas besoin de plaquettes pour tenir sur le nez, et leurs branches ne se replient pas : ce sont autant d'économies supplémentaires que de pièces risquant de casser en moins.

    * Un opticien, formé en une quinzaine de jours par le programme OneDollarGlasses, fabrique une paire de lunettes en 15 minutes, selon les chiffres-clé mis en avant sur la fiche produit du Siemens Stiftung Award, sur une petite cintreuse pouvant fonctionner avec une faible alimentation électrique.

    * Le coût de fabrication des lunettes s'élève à moins d'un dollar, ce qui permet une commercialisation à un prix compris entre deux et sept dollars et à l'opticien de vivre de son activité, selon The Guardian.

    * La cintreuse, qui peut être utilisée par trois à quatre opticiens travaillant ensemble, avec les verres et montures pour 1.000 paires de lunettes, coûte environ 2.400 euros, entièrement supportés par les donations au programme, selon le Siemens Stiftung Award.

    * Le programme a initialement été lancé en Ouganda, avant de s'exporter au Rwanda, pays de 11,4 millions d'habitants qui ne compte que 11 ophtalmologistes selon OneDollarGlasses.

    * Il a depuis essaimé en Tanzanie, au Burkina Faso et en Bolivie.

    * Selon le site du Siemens Stiftung Award, la mauvaise vue non corrigée coûte chaque année la somme de 120 milliards de dollars de PIB mondial.

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    LIENS

     Lunettes à 1 dollar

     One Dollar Glasses

    Bonté, Générosité, Altruisme = des valeurs humaines innées

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  • Eliodomestico, un éco-distillateur pour accéder à l'eau potable

    ECO1.jpg

    Source : http://www.consoglobe.com/eliodomestico-dessaler-eau-de-mer-cg

    http://www.consoglobe.com/eliodomestico-dessaler-eau-de-mer-cg/2

    * De l’eau de mer devient potable grâce à cette invention Open Source, qui va sauver des millions de vies !

    * Le manque d’accès à l’eau potable est l’une des causes principales de mortalité dans les pays pauvres.

    Durant ces dernières années, plusieurs efforts ont été déployés pour rendre l’eau de mer potable. Cela nécessitait des centrales qui consommaient énormément d’énergie et était inaccessibles aux pays pauvres.

    Le designer italien Gabriele Diamanti (voir ici) a eu l’idée de rallier deux éléments naturels au service de l’environnement.

    Il a crée le "Eliodomestico", un éco-distillateur qui transforme l’eau salée en une eau potable grâce à l’énergie solaire.

    Ce projet est destiné aux pays en développement et il permettra à ces populations d’accéder à de l’eau potable à moindre coût, avec en prime une technique "Open Source".

    COMMENT FONCTIONNE LE "ELIODOMESTICO" ?

    ECO2.jpg

    * Chaque dispositif Eliodomestico peut produire cinq litres d’eau potable par jour. Ce qui suffit largement pour une famille de 4 personnes.

    * Le concept est simple, il suffit de mettre de l’eau de mer (eau salée) durant la matinée dans une chaudière spéciale.

    * Cette chaudière est étanche à l’eau et grâce au soleil (chaleur) l’eau s’évapore tout au long de la journée.

    La vapeur passe dans un tuyau de raccordement puis se condense dans le couvercle du bac de récupération.

    * L’utilisateur peut récupérer l’eau fraîche et potable que contient le bac après le coucher du soleil.

    Une idée encore plus satisfaisante pour transporter l’eau potable, il suffit de porter le petit bassin sur la tête (une pratique très répandue).

    ECO3.jpg

    FABRICATION DU ELIODOMESTICO

    * Pas besoin d’énergie nuisible ou d’électricité, Eliodomestico est fabriqué à partir de matériaux simples et largement disponibles. Quant à l’entretien, il est simple.

    Le créateur de ce concept a aussi mis cette technologie a disposition de toute personne désirant en profiter. Une sorte d’Open Source de la création et de l’invention qui a participé à l’évolution du savoir humain.

    Le designer italien Gabriele Diamanti explique son projet sur cette vidéo :

    https://vimeo.com/47238447

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    LIENS

     Eliodomestico.pdf

     Eliodomestico distillateur solaire

    Gabriele Diamanti

     Bonté, Générosité, Altruisme = des valeurs humaines innées

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  • Francisco Van Der Hoff, co-fondateur de "Max Havelarr" premier label de commerce équitable


    https://www.youtube.com/watch?v=5OCOrW7o9RQ

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    * Prêtre-ouvrier, Francisco Van Der Hoff est l'inventeur du commerce équitable

    Francisco Van Der Hoff - "Lorsque nous avons créé le label Max Havelaar en 1988, avec mon ami Nico Roozen, nous n’avions pas une idée extrêmement précise de ce que pouvait être le "commerce équitable".

    Nous voulions un commerce alternatif, où les producteurs eux-mêmes auraient accès au marché directement, et de manière équitable, ce qui n’était pas le cas à notre arrivée.

    A l’époque, nous voulions réformer le marché, mais nous avons vite compris que notre petite taille ne nous le permettrait pas. Le problème c'est que nous voulions un marché démocratique, mais les entreprises du nord ne sont pas favorables au fait que les petits paysans aient leur mot à dire dans les décisions commerciales."

    C’est une grosse erreur de penser que les multinationales peuvent être sociales, car par définition elles ne le sont pas. Cela ne veut pas dire qu’il n’y a que des "méchants" dans les grosses entreprises mais les actionnaires demandent une productivité et une rentabilité de plus en plus importante, ce qui les oblige à réduire au maximum leurs coûts de production.

    Leur mission est différente de la nôtre. Ils sèment déjà le désordre et la confusion sur le marché international, nous devons les empêcher de venir sur le marché du commerce équitable car ça leur permet d’être encore plus néfastes !

    * Je parle bien sûr au niveau de la production, en revanche, au niveau de la distribution, ils peuvent intervenir mais avec des règles bien définies.

    * La part de commerce équitable dans leur chiffre d’affaire ne doit pas représenter qu’une minuscule part uniquement destinée à blanchir leur image vis-à-vis des consommateurs !

    "Parler avec le patron de Carrefour, ce serait perdre mon temps. Seuls les consommateurs peuvent faire changer les choses."

    Francisco Van der Hoff est né Frans, dans une famille de paysans pauvres du Brabant, aux Pays-Bas, au milieu de seize frères et sœurs. Une origine qui explique le "caractère dur, tenace, têtu", décrit par son ami Jean-Pierre Blanc, directeur des cafés Malongo.

    * Bon élève, il intègre un internat à l'adolescence, puis entre en religion, dans un monastère tourné vers l'aide aux démunis. Il part ensuite étudier la philosophie et la théologie à l'Université de Nimègue, où il découvre la contestation en cette fin des années 60. Il prend la tête de l'Union étudiante, participe à l'euphorie du mouvement et découvre la désillusion des lendemains qui déchantent.

    Ordonné prêtre, mais sans un sou et devenu persona non grata dans son pays, il s'exile à Ottawa pour enseigner. C'est là qu'il commence à s'intéresser au Chili. Il s'y rend plusieurs fois, s'installe comme prêtre-ouvrier dans une mine du Nord. Mais le coup d'État qui renverse le président Allende le contraint à fuir et il se réfugie au Mexique.

    "Ma vie, c'est une suite d'accidents"

    * "Ma vie, c'est une suite d'accidents", résume-t-il de sa voix grave de fumeur. Mais il ne se range pas davantage à Mexico. Il est renvoyé d'une usine de voitures pour activisme syndical.

    * Pour l'éloigner autant que pour préserver sa sécurité, on l'envoie dans le diocèse d'Oaxaca. Et là, dans les montagnes de l'isthme de Tehuantepec, il comprend que sa carrière de prêtre voyageur s'arrête.

    * On est en 1980. "Soudain, je me suis senti chez moi. Moi qui suis né "sous les vaches", c'était mon milieu naturel." Au point de ne plus se sentir européen.

    * "J'ai découvert que l'Occident ne savait pas grand-chose. J'ai absorbé beaucoup de la sagesse des indiens, une autre perception de l'homme, l'art de la survie."

    * Il partage la misère des Indiens zapotèques, "sa deuxième famille", dit Blanc. Avec eux, il devient caféiculteur. Il est de la réunion fondatrice de 1981 où une centaine de paysans se livre à une "analyse de la réalité" et jette les bases d'un commerce équitable, en marge du marché international, avec le minimum d'intermédiaires.

    * C'est l'acte fondateur d'UCIRI - Unión de Comunidades Indígenas de la Región del Istmo - (voir ici - ici et ici).

    La coopérative, au fonctionnement démocratique et participatif, centralise le café, organise la vente directe, utilise une partie des bénéfices pour des programmes sociaux ou éducatifs. Le padre, diplômé en économie, apporte sa connaissance des marchés internationaux.

    À la fin des années 80, quand il faut trouver des débouchés pour ce café dans les pays occidentaux, Francisco Van der Hoff s'associe à une ONG néerlandaise pour fonder Max Havelaar, du nom d'un héros de roman hollandais du XIXe siècle qui dénonçait l'exploitation coloniale dans les Indes néerlandaises.

    * Il amorce la diffusion du café de la coopérative, sur un modèle qui essaimera dans d'autres pays.

    Aujourd'hui, il n'a plus de rôle actif au sein d'Uciri, mais il vit toujours dans sa petite maison à Buenavista.

    * Il continue de donner des conseils, sur l'organisation comme sur le business.

    * "Il a toujours été là pour nous aider", note Celso Eleuterio Cabadilla, responsable des exportations de la coopérative.

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    LIENS

    Prendre le parti des Pauvres 

     Francisco VDH

     UCIRI caffè equosolidale dal Messico

     Café UCIRI.pdf

     UCIRI Mexico.pdf

     Témoignage Luis Martinez.pdf

    Le Padre révolte.pdf

    Prendre le parti des Pauvres.pdf

    ♦ Bonté, Générosité, Altruisme = des valeurs humaines innées

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