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| Le Yin et le Yang est en chaque Homme |
ET DU SUBCONCIENT (principe féminin)
PERMET À L'HOMME ET À LA FEMME
DE DEVENIR UN EN EUX-MÊMES
DES LIENS SERONT RAJOUTÉS en fin de page et/ou dans le texte – aux articles déjà écrits, anciens et même parmi les premiers – au fur et à mesure de l'enrichissement et de l'évolution de ce blog. Liens ayant un rapport avec les différents thèmes déjà abordés, afin de permettre un meilleur regroupement desdits thèmes que les internautes voudraient rechercher.
Hommes ---> H= hommes et femmes
* Croire, vouloir croire ou faire croire que la complémentarité humaine est extérieure, est faire offense au Créateur Lui-même.
* En effet cela laisse entendre qu’Il aurait oublié quelque chose en créant l’homme et en créant la femme, et que seule leur union les rendraient “complets”, les complèteraient.
* C’est méconnaître la nature profonde, ontologique, divine, de chaque homme et de chaque femme.
* Et c’est mal lire le chapitre 2 de la Genèse qui, depuis des siècles, est mal interprété.
* Dans ce chapitre 2, il n'est nullement parlé d'une "côte d'Adam*" mais de son autre côté : ce subconscient qui contient toutes ses énergies, son Étincelle Divine - qu'il doit connaître et comprendre pour vivre son état d'Être Divin.
*Adam= l'Humanité
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COMPRENDRE EN PROFONDEUR
- Ne plus reproduire les vilénies et cruautés d'antan
- Ne plus perpétuer le dualisme extérieur, reflet du dualisme intérieur
* Un homme et une femme vivent ensemble parce qu’ils se plaisent, se désirent, ont des affinités, s’aiment profondément et veulent créer un foyer heureux, chaleureux, harmonieux.
* Mais si dans ce désir de vivre ensemble, se trouve le manque de la connaissance d’eux-mêmes ainsi que le manque de l’union intérieure en chacun d’eux, ce foyer peut devenir le théâtre de toutes les tragédies, si l’un ou l’autre décide de rompre des règles établies extérieures venant troubler leur être profond.
* Cela démontre bien que la complémentarité extérieure ne crée pas le bonheur, et encore moins ne définit ni n’épanouit des vies humaines.
* Les religions ont enfermé l’homme et la femme dans la complémentarité extérieure les faisant s’éloigner de leur ontologie propre.
* En cela, les religions ont porté un grave préjudice au genre humain=
─ Non seulement en séparant et en déformant ontologiquement le genre humain : 1) en valorisant en l'homme seulement son Principe Masculin intérieur, pour occulter sciemment son Principe Féminin en lui ; 2) et en valorisant en la femme seulement son Principe Féminin intérieur, pour occulter sciemment son Principe Masculin en elle ;
─ Conséquences pour les hommes - En portant préjudice au genre masculin (séparé de son Féminin Intérieur), il leur a été refusé toute émotion et toute démonstration de leur sensibilité, tout contact spirituel, etc... - que représente leur Féminin Intérieur - pour leur préférer leur force physique voire leur brutalité ;
─ Conséquences pour les femmes - En portant préjudice tout particulièrement au genre féminin (séparé de son Masculin Intérieur) en leur laissant seulement le côté émotionnel, spirituel, ontologique, etc... représenté par le Féminin Intérieur, il leur a été refusé toute liberté d'entreprendre, de penser, de créer, d'amener toute dynamique de vie et tout apport à la société. Les femmes payèrent un lourd tribut devant cette attitude néfaste : justification de toute discrimination en les rabaissant, en les décrétant inférieures aux hommes par la justification du terme "sexe faible" (voir ici). Sans oublier que, durant des siècles, la religion leur refusa non seulement le plaisir charnel que Dieu a également voulu pour elles, mais pire, les priva d'une âme les reléguant ainsi au rang inférieur d'être humain, au rang d'animal.
─ Mais surtout en dévalorisant le sexe humain.
* Les religions chrétiennes ont ainsi porté préjudice, hélas, au sexe humain, tout particulièrement à celui de la femme en le déconsidérant, le salissant, l’éclaboussant de honte, de péché et de mort. Le baptême religieux fut une conséquence de cette vision erronée de la femme et de son sexe jugé mortifère pour la vie qui en sort (voir ici).
* Le corps et le sexe de l’homme et le corps et le sexe de la femme furent décrétés “souillure” et le plaisir charnel fut diabolisé et interdit dans le couple.
* Il fallut attendre le 21ème siècle avec le livre de Jean-Paul II “La théologie du corps” pour que :
— non seulement, l’église reconnaisse que le plaisir sexuel est un don de Dieu (hélas l’église n’a jamais demandé pardon des torts qu’elle a commis tout particulièrement envers les femmes, préférant laisser entendre que les femmes ne désiraient pas faire l’amour),
— mais également pour récupérer des hommes et des femmes scandalisés par l'attitude aebêtissante et mortifère religieuse, à laquelle ils ne croient plus.
* La division du genre humain et la vision archaïque et rétrograde que les religions chrétiennes ont porté sur les femmes, furent une des raisons de l'existence de l'Inquisition qui dura 600 ans (plus de 90% des victimes furent des femmes) : 1- pour justifier la privation totale de leur engagement immense envers la société, engagement qui dura jusqu'au milieu du 12e siècle (administration de la société, sage-femme, guérisseuse, soins et gestion apportés à la famille, au couple, aux enfants ; intercesseuses pour réhabiliter les femmes violées parfois mises enceintes suite aux viols, pour aider financièrement les mères célibataires, etc...) 2- pour justifier leur anéantissement et leur meurtre horrible par la torture et le bûcher (voir ici) en les représentant comme de mauvaises sorcières, afin de salir, amoindrir et enlaidir pour la postérité l'image physique de la Femme, et afin de dénigrer ontologiquement et socialement Son Féminin Intérieur.
* Cet anéantissement de la Femme extérieure, représente et signifie par là-même (bien que certains en furent inconscients) le refus du Féminin Intérieur que beaucoup d'hommes, hier comme aujourd'hui, ne savent pas, ou bien, ont encore peur de (re)connaître.
* Les religions, par ignorance ou refus de dévoiler aux humains leur propre ontologie, ont ratatiné l'Homme et l'ont laissé à l'état d'animal pensant ; pire, elles ont réduit le sexe des hommes et le sexe des femmes qu’en un organe reproducteur en le désignant fondement central de cette complémentarité extérieure.
* L’acte sexuel ne sert absolument pas à compléter l’homme et la femme.
- Le sexe outil de transcendance
* Le sexe est, ou devrait être, une des portes pour atteindre à la transcendance, par la pratique de la complémentarité intérieure que doivent connaître autant l’homme que la femme, avant de s’unir.
* Cela demande la connaissance de soi, l’amour de soi, l’amour de son propre corps, l’amour de l’autre et l’amour du corps de l’autre.
* Une telle union, basée sur la douceur, sur la spiritualité et sur la pleine conscience qu’amène la connaissance de soi et l’union en soi-même, honore les corps, les rend sacrés : cette union fait honneur au Créateur.
* Désirer un enfant dans cet état de conscience profond, hautement spirituel, ontologique, divin, dépasse le vulgaire domaine religieux mesquin, hypocrite, moraliste et bestial.
- La complémentarité intérieure en l'homme et en la femme est la PIERRE ANGULAIRE pour devenir l'Image du Créateur
Éphésiens 5,22 - "Femmes, soyez soumises à vos maris, comme au Seigneur."
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1 Corinthiens 11,6 - "Car si une femme n'est pas voilée, qu'elle se coupe aussi les cheveux. Or, s'il est honteux pour une femme d'avoir les cheveux coupés ou d'être rasée, qu'elle se voile."
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* L'interprétation littérale de la Bible a jeté sur les femmes, durant des siècles, toutes les négations et préjugés pour justifier et lui définir arbitrairement un ou des rôles établis. La Bible représente l'histoire de l'Homme et doit être lue avec l'esprit, de façon ontologique, sinon c'est l'ignorance e
